Violence des CRS à Nanterre
Coups de matraques à Nanterre mardi 13 novembre 2007. Pour permettre l’entrée d’une minorité d’étudiants non grévistes dans les locaux bloqués, une petite centaine de CRS a chargé sans ménagement les étudiants en grève. Une vidéo Infocom-net.
18 réactions
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J’ai quitté ma fac pour une école à cause de ce gauchisme ambiant... maladie infantile du communisme écrivait Lénine et il avait si bien raison. Le pcf risque même d’en perdre son nom maintenant. Alors, bien sûr, je vais me faire traier d’étudiant Pétainiste, voire faciste... Le problème est que la plupart des étudiants n’étudiant même pas, ils ont tout le temps libre pour trainer dans des mouvements où tournent chichon, alcool et cuisses légères. Tout cela est ridicule et l’actualité bien attristante pffff je retourne lire mon Platon.
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Il faut arrêter la désinformation. J’étais sur place et les étudiants non grévistes souhaitant avoir cours était au mois 6 fois plus nombreux. Et cela faisait 2h30 que les étudiants anti blocage demandait au bloqueurs de partir au nom de la liberté d’étudier et ces derniers ne répondaient que par des insultes.
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Vous entendez ; les CRS : "doucement , doucement"
Peu être l’habitude des banlieues... On peu taper sans problème...
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Les étudiants pro-grève semblent assez peu nombreux pour affirmer une soit-disante majoritée représentative. Et ce ne sont pas des CRS mais des gendarmes mobiles. Et on ne parle ni de blessés ni d’ interpellations au sein des étudiants. Quant aux matraques... Le mouvement de gréve est peut être légitime pour certains étudiants, mais pour aller dans leur sens : ils ont le droit à la revendication, mais qu’ils laissent aux autres le droit à la libre circulation ( voir aussi d’expression et d’accès à l’ éducation mais bon
ce serait trop demander ) sinon au Vénézuela où les étudiants ont de vrais problêmes, on en parle quand ?
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Pardon ? une minorite non bloqueurs ? vous avez un peu de mal je crois. les bloqueurs etaient 200, les anti bloqueurs etaient plus de 1200. faut pas retourner les situations. les minoritaires sont bel et bien les bloqueurs (qui d ailleurs sont, dans ces 200, meme pas en majorite de l UFR de droit)
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LOL
C’est comme l’histoire du pecheur qui traite d’enculé le President et on voit la réplique du President sur TF1 sans l’insulte avant.
Idem on voit des "pauvres étudiants" sans defense, alors qu’ils vociférés injures et j’en passe avant, certains avaient meme la figure cachée, il fesait froid.
J’adore la presse francaise :)
Enfin nous allons retrouver notre routine habituelle
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Je ne vois pas où sont les "violences". Je crois d’ailleurs que le premier "débordement" des CRS serait l’étincelle qui justifierait une explosion massive de la grogne. A moins que, sur le terrain, lesdits CRS manifestent, par leur modération, le malaise qui est le leur mais qu’ils n’ont pas le droit d’exprimer (eh, oui, la réforme des retraites, la suppression de postes de fonctionnaires, risquent d’affecter aussi les forces de l’ordre !)
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Bon deja vous confondez CRS et gardes mobiles, ca commence bien, ca vous rend credible.
On voit 3 anarchistes se faire arretter, j’appelle pas ca de la violence. Ces "étudiants" bloqueurs sont pour la plupart insrcitd en fac mais n’y mettent jamais les pieds, ils sont justes les marionettes de certrains partis et groupes de ébiens pensants" néo socialistes. beurk, quel drole de pays qu’est le mien.
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humm humm je vois beaucoup de mauvaise foi et d’inepties dans les commentaires precedents !!!soit ces gens sont aveugles ou ne savent pas compter voire ont un beau parti pris politique, selon eux il y avait plus d’anti-bloqueurs que de bloqueurs devant les batiments c bizarre ce n’est pas l’impression que j’ai eu(soit dis en passant j’étais devant le batiment F mais je ne bloquai pas), je faisais partie d’une majorité qui ne bougeait pas mais qui trouvait inadmissible la presence des gendarmes mobiles et des CRS(car il y en avait j’y etait dc on se renseigne avt de laisser des commentaires stupides qd on n’y etait pas:VU DONOVAN).Ensuite pour une majorité d’anti bloqueurs il n’y a eu pas tant que ça qui sont rentrés dans le batiment(je nie qu’il y en a eu). ENFIN "CERTAINS" ANTI-BLOQUEURS (SUIVEZ MON REGARD VOUS SREZ QUI JE VISE EN PARTICULIER:LES JEUNES U.. !!!!!) QUI APPLAUDISSENT QUAND DES ETUDIANTS SE FONT TAPER DESSUS C TRES CLASSE ET ON SENT QUE C GENS LA AIME LA DEMOCRATIE ET PAS DU TOUT LA REPRESSION LOL moi qui vient d’arriver a nanterre cette année (je ne suis pas un première année) je suis deçu de la presidence de cette fac qui met de l’huile sur le feu et par consequent radicalise les positions des deux cotés.
VOILA VOILA
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Mauvaise foi, je ne crois pas. Je pense être au contraire plutôt bien placé pour en parler, ayant connu des manifestations vues des deux côtés. Je regrette simplement la diabolisation systématique des forces de l’ordre, ainsi que la manipulation par les syndicats de la jeunesse et de la fibre républicaine des étudiants à des vues politiques extrêmes. ( je parle en général et pas particulièrement des manifs actuelles ) N’oublions pas non plus les casseurs et autres parasites qui s’invitent au sein des manifestations et qui font passer les étudiants pour des vandales. Pour la petite histoire, j’ai un membre de ma famille en faculté à Bordeaux qui doit passer des unités au mois de décembre et qui a du se lever une heure plus tôt ce matin pour pouvoir rentrer dans l’enceinte de la fac avant le blocage par les manifestants. Peine perdue, ceux ci étaient déjà sur place, autorisés à rester durant la nuit dans les locaux (chauffés) de l’université. Tout ça pour dire que j’ai eu la chance de découvrir des universités étrangères ( USA, vénézuela) avec leurs moyens et leurs problêmes, et s’il n’est rien fait en France pour relancer le niveau, l’ouverture à l’étranger ou encore les moyens, nos "facs" sont appelées à dépérir.Une remise en question du syystème universitaire est indispensable, après, dire si la loi Pécresse est une bonne solution, je n’ai pas les arguments nécessaires pour en débattre. Et en effet tu le fais bien remarquer, à la fin de la video il y a un policier en civil qui s’occupe d’un étudiant à terre et qui doit certainement appartenir à une unité de CRS.Autant pour moi
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On peut analyser ça de la manière suivante : les bloqueurs n’ont pas envie de voir els élèves sérieux prendre de l’avance sur eux, dont ils les forcent à faire grève (en les empêchant d’entrer). Le problème c’est que dans une démocratie chacun est libre de circuler, si un étudiant veut rentrer dans une fac je ne voit pas au nom de quelle décision arbitraire décidé en petit comités de gauche on l’en empêcherait...
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Vous etes vraiment un peuple à la limite des primates quand meme.Rien dans la cervelle,rien dans les bras,rien dans la culotte.Heueusement que vos congénères féminines sont bonnes.
Ca parle en vain,ça chiale,ça essaie de contrer plus fort que soit...il vous reste plus qu’à lecher les bottes de l’oncle SAM
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Pour te répondre à ma façon SERBIAN-SNIPER Aujourd’hui, en Serbie, personne, en vérité, ne sait vraiment qui détient le pouvoir.
Cela crée une situation d’anxiété permanente dans les médias qui redoutent l’omniprésence de la surveillance.
Les rédacteurs chuchotent quand il me rencontre, et ils confinent leurs conversations téléphoniques aux remarques les plus convenues. Chacun pense être écouté, y compris ceux qui soutiennent le Premier ministre et qui détestent le groupe de pression des vétérans représentés par l’ancien dirigeant des Bérets Rouges, Milorad "Legija" Lukovic, qui parade en ville dans de luxueuses voitures de sports aux vitres teintées.
Ceux qui préfèrent le rival politique du Premier ministre, Vojislav Kostunica, chuchotent eux aussi, car ils pensent que leurs conversations sont mises sur écoutes, mais cette fois-ci par l’équipe du Premier ministre.
Pour leurs rendez-vous, ils choisissent des restaurants bruyants où il est plus difficile d’écouter leurs conversations et éteignent leurs téléphones portables. Ils suivent les conseils d’experts et ils se tiennent à une certaine distance de leurs téléphones quand ils ont une conversation confidentielle, car on leur a dit que c’étaient les meilleurs outils pour la surveillance à courte distance.
Zoran Djindjic lui-même a déclaré que la mafia avait un meilleur système d’écoutes que la police serbe et, chose intéressante, le 21 janvier, le journal Identitet a révélé les détails d’une conversation entre le Premier ministre et l’un de ses alliés.
Ce journal, proche du groupe de pression des vétérans des Bérets Rouges, a révélé que les deux hommes avaient discuté de la façon de traiter les Bérets Rouges déloyaux et qu’ils avaient avancé des plans pour arrêter le chef de la mafia de Zemun. Le titre précisait que les éléments publiés provenaient "d’un service de renseignements étranger".
Vojislav Kostunica s’est aussi plaint d’avoir été mis sous écoutes.
Qui est responsable de ce chaos ? Tout d’abord, on peut montrer du doigt l’élite dirigeante de la Serbie, qui a traîné les pieds trop longtemps pour affronter les vétérans de guerre et les groupes criminels qui ont infiltré la police au temps de Milosevic.
L’élite dirigeante actuelle a compté sur l’aide de ces groupes pour renverser Milosevic, et elle a absous leurs actions passées en croyant, à tort, que Milosevic et quelques-uns de ses admirateurs seulement seraient tenus pour responsable des plus graves des crimes du régime passé. Ils pensaient s’attirer les bonnes grâces de l’Occident au prix seulement de quelques transferts vers le Tribunal.
Cette élite a transmis le même message à l’opinion publique, chaque fois que quelqu’un était remis au Tribunal de La Haye : "nous extradons ces gens non pas parce que nous pensons que ce sont des criminels de guerre, mais parce que si nous ne le faisons pas, nous ne recevrons pas les fonds occidentaux".
La communauté internationale et les diplomates en poste à Belgrade sont eux aussi responsables. Par respect pour son apparente bonne volonté de coopération avec La Haye, alors que son rival Kostunica s’en tenait à une posture nationaliste dépassée contre le TPI, l’Occident a été trop indulgent envers Zoran Djindjic quant à sa façon de gérer les affaires internes serbes.
D’avoir fermé les yeux a de trop visibles conséquences. Les hommes de Milosevic ont sorti du pays près de 6 milliards de dollars, avant même la chute du régime. Et pourtant les représentants les plus en vue de l’ancien régime continuent à mener la belle vie dans leurs luxueuses villas. Pas un seul dollar n’a pris le chemin du retour et personne n’a été condamné.
Les groupes de presse favoris de Milosevic sont devenus les préférés du nouveau gouvernement et sont toujours de puissantes entreprises médiatiques, alors que la presse indépendante a soit renoncé à son indépendance, soit été marginalisée au point qu’elle n’a plus beaucoup d’influence.
Les autorités ont exhumé les corps de centaines d’Albanais assassinés, que l’ancien régime avait enterrés dans l’enceinte d’un camp d’entraînement de la police près de Belgrade, tentant ainsi de cacher les atrocités commises pendant la guerre du Kosovo en 1999. Mais pas une seule inculpation n’a été prononcée à l’encontre des bourreaux.
Des fusillades et des affrontements entre les groupes mafieux ont fait des dizaines de victimes dans les rues de Belgrade. Il y même eu une tentative de meurtre contre la vie du Premier ministre. La guerre des gangs dans les banlieues de Belgrade, à Surcin et à Zemun, est déclarée et les gangs rivaux s’entretuent en continuant leur propagande dans les médias, s’accusant mutuellement d’être responsables des assassinats politiques et des actes de gangstérisme.
Un des événements majeurs a été la découverte récente à Belgrade de deux usines où la mafia fabriquait de la drogue. Deux millions de cachets ont été trouvés avec de grandes quantités de substances chimiques pour la fabrication de drogues, le tout évalué à 10 millions d’euros.
Mais beaucoup de gens pense que cette découverte n’a pu être faite que grâce à l’initiative de l’Agence américaine de lutte contre la drogue. En coordination avec la police serbe, une action fut menée pour fermer les usines qui avaient été, pense-t-on, le plus grand centre de fabrication de substances illégales en Europe.
Combien de temps la coexistence pacifique entre la mafia, le gouvernement et les criminels de guerre va-t-elle durer ? Je crois qu’elle ne peut pas continuer bien longtemps.
L’Occident, enfin, hausse le ton et exige que Zoran Djindjic lui livre des criminels de guerre comme Ratko Mladic. Il veut aussi que le gouvernement s’occupe avec plus de fermeté de la mafia, maintenant que Vojislav Kostunica a été écraté et que le seul opposant parlementaire sérieux, le dirigeant du Parti radical serbe Vojislav Seselj, est parti à La Haye.
Le problème pour Zoran Djindjic, c’est qu’en affrontant les forces qu’il a si longtemps tolérées, il risque de se rendre compte qu’elles ont en fait plus de pouvoir que lui-même.
Donc ne critique pas la France car ton pays de mafiosi qui prostituent leur propre soeur ne vaut pas grand chose ,en plus tu écris français , tu dois surement vivre en France, alors respecte notre pays ou tire toi.
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Pour commencer il y a un gros malentendu... Il ne s’agit pas de CRS... mais de gardes mobiles... C’est pas vraiment la même chose... C’est des encore moins gentils que les CRS
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Quelques précisions sur les termes... On parle de gendarmes mobiles mais pas de gardes mobiles (employé sous Napoléon)... Ce sont des répresentants de l’ordre dont le but est d’assurer la protection des biens et des personnes... Ils n’agissent que sur réquisitions .... et n’interviennent (physiquement) qu’après des sommations... Je présume donc qu’ils ont agit dans l’interêt des non grévistes afin de preserver le droit de libre circulation... DDHC et ils sont intervenus dans un cadre strictement prèvu par la loi (réquisition + sommation). Liberté d’opinion ... oui ...droit de manifester oui.... mais aussi liberté d’aller et venir...
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Ce qu’on voit sur la vidéo : des bloqueurs vraiment pas nombreux, une petite dizaine, un plus grand nombre d’observateurs dont certain sont curieusement habillés... Resistance passive d’un côté et simplement fermeté de l’autre. Les gendarmes mobiles ont été très pro. Bref, on ne voit rien de violent dans cette vidéo et c’est tant mieux.