jeudi 30 juillet 2015 - par AlterJT

Viol ou consentement

Clémence Bodoc, web rédactrice chez madmoizelle.com, nous décrit la « zone grise », moment où les interprétations diverses demandent l’avis de l’autre, du vis-à-vis, pour ne pas commettre une agression. Un reportage nous éclaire sur le PTSD (05:16), un stress handicapant qui est généré par les traumatismes et qu’il est nécessaire d’identifier pour commencer à mieux se comprendre et éventuellement guérir d’un traumatisme sexuel. Enfin, un court-métrage compare le consentement à une tasse de thé… bienvenuEs dans cet Alter JT+

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article de Clémence Bodoc : http://www.madmoizelle.com/culture-du-viol-consentement-zone-grise-293519

 

toutes les images et dessins ont été accordées par ce site : http://www.polyvalence-mp.com

 



16 réactions


    • Qaspard Delanuit Qaspard Delanuit 30 juillet 2015 11:48

      @yoananda

      Oui, dans un monde unisexe, tout est gris, plus de femme, plus d’homme mais des entités intermédiaires et indéterminées comme les gens de cette vidéo. Non seulement il n’y a plus de distinction nette entre le masculin et le féminin, mais il n’y a plus non plus de séparation nette entre ce qui est sexuel ou pas sexuel. Et ensuite ces gens gris s’étonnent de mal distinguer les frontières avec leur yeux gris dans leur monde tout gris.  smiley


    • la mouche du coche 30 juillet 2015 22:21

      C’est sûr qu’avec sa tête et ce qu’elle pense, celle-là ne risque ni d’être violée, ni d’avoir à donner son consentement, personne ne veut d’elle.


  • julien julien 30 juillet 2015 11:28

    Encore cette escroquerie de la culture du viol, mais bon aujourd’hui tout est bon pour sans cesse victimiser les femmes et diaboliser les hommes et comme le rappelle yoananda détruire les identités et uniformiser à tout crin malgré toutes les évidences. 


  • Qaspard Delanuit Qaspard Delanuit 30 juillet 2015 11:43

    Je n’ai jamais rencontré les problèmes de "zones grises" que décrivent ces gens, on ne doit pas vivre sur la même planète. Je n’ai jamais trouvé difficile de savoir si une personne désirait avoir une relation sexuelle avec moi, pas plus que je ne trouve difficile de savoir si une personne veut jouer ou non au tennis avec moi. La personne qui n’a pas envie ne commence pas et si elle a commencé et n’a plus envie, elle s’arrête, tout simplement. 


    • 10joncte 10joncte 30 juillet 2015 13:18

      @Qaspard Delanuit

       Bah perso, je suis en campagne, et perso, j’en ai entendu de ces problemes apres discussions avec femmes ; Il y a des femmes, jeunes souvent, qui ce laisse trop faire ou avoir par peur ,inexpérience, incapacité involontaire à dire non... ; à faire comprendre à certains types d’homme ..., et malheureusement des fois avec les pires . 


    • lancelot 30 juillet 2015 15:51

      @Qaspard Delanuit

      Moi c est plus compliqué . Pour savoir ou pas a coup sur il faut regarder si le clitoris est gonflé ou non ,ce qui necessite de les déshabiller . Ce qu elles prennent parfois pour une tentative de viol . Mais si le test est négatif promis je les rhabille .


  • Boris le laid 30 juillet 2015 12:03

    Avant d’avoir a écouter la personne j’ai parcouru pour me faire une idée ses écrits sur "madmoizelle.com". Pas de surprise : homosexualiste, véganiste ( sûrement un régime à base de frites et de bière^^), "féministe" mais parce qu’ "antiraciste" s’est empressée de ne surtout pas dénoncer les agressions récentes de la police islamique des maillots de bains ^^( tentez de lire cet article pour saisir la confusion mentale de cette personne, moi j’ai rien pigé)


  • Heimskringla Heimskringla 30 juillet 2015 12:40

    J’ai discuté de ça avec pas mal de copines. Elles me disaient plus ou moins toutes que oui, le fantasme ultime était le viol. Je me demande si dans une société jouissive comme la notre ce n’est pas le même schéma de pensée qu’un toxicomane. Toujours plus fort, plus gros, plus long... mais jusqu’ou en fait ? la mort ? le shoot ultime de la mort ? Et dire que cette société se prétend faire honneur à la vie, mon dieu... 


    Après elles voulaient toutes aussi que le violeur ressemble à Brad Pitt. Petite joueuses... 

    Je trouve que si on a ce fantasme autant aller au bout du truc et se faire violer par un SDF avec 3 dents, des ongles de 5 cm avec de la crasse, une odeur nauséabonde qui rappelle les heures les plus sombres de l’histoire et évident une tonne de smegma autour du gland.

    La je dirais respect. 

    • Rounga Rounga 30 juillet 2015 13:40

      Qu’il existe un fantasme sur le viol ne signifie pas qu’il y a une réelle volonté de se faire violer chez ces femmes. Il s’agit d’un fantasme, c’est-à-dire d’une mise en scène qui puise son attrait du fait même qu’elle est imaginaire. Un fantasme ne reste un fantasme qu’à la condition qu’il ne soit jamais réalisé. A mon avis, ce fantasme du viol a probablement à voir avec l’absence de prise de responsabilité, la passivité et la contrainte permettant paradoxalement de libérer le sujet puisqu’il ne décide plus de ce qu’il lui arrive. C’est la même chose dans le masochisme. 


  • Rounga Rounga 30 juillet 2015 13:26

    Mais m’sieur l’juge, j’l’ai pas violée ! Le viol, c’est quand on veut pas. Moi j’voulais !


  • julien julien 30 juillet 2015 14:24

    "Le violeur c’est nos amis, nos copains, nos frères" : tout ça est dit avec le sourire, très tranquillement. Chaque homme doit être présenté et perçu comme un danger et un prédateur potentiel. Quant on sait que ces gens veulent faire passer des "regards insistants" pour du harcèlement (qu’ils ouvrent déjà un dictionnaire) on ne peut plus douter du sens de leur démarche : instaurer un climat de méfiance, de terreur et de stigmatisation généralisée, dresser les femmes contre les hommes. 

    Au final un total délire paranoïaque revanchard et misandre qui se présente comme d’habitude sous le nom de "progrès", "tolérance". Au moins ce qu’il y a bien c’est que quand on entend ces mots dont le sens a été totalement détourné voir retourné pour essayer de nous convaincre de quelque chose, on sait que l’on a systématiquement affaire à une arnaque et à quelque chose de destructeur.

  • michel-charles 30 juillet 2015 14:25

    Même pour un psy il arrive parfois d’avoir des difficultés à trouver la ligne rouge... !


  • Unghmar Unghmar 30 juillet 2015 15:44

    25 minutes de causerie où l’on proclame l’existence de "la culture du viol" et, d’anecdotes ou suppositions transformées en généralités sociales, on tartine de l’amalgame sur du compassionnel.
    Un sujet travaillé et sourcé comme on les aime en somme.


  • gaijin gaijin 31 juillet 2015 06:52

    pas si mal que ça mais ça survole et amalgame beaucoup de question différentes ça démontre en tout cas ( comme les réactions précédentes ) que dans notre société sois disant libérée la question sexuelle reste un véritable tabou .....
    on ne devrait pas a mon sens assimiler les questions de la " zone grise " avec celles du viol " délibérément conscient "
    un petit reportage sur la culture du viol :
    https://www.youtube.com/watch?v=WGQ_HAQUQxU


    • julien julien 31 juillet 2015 09:18

      @gaijin
      Arrêtez, leur propos est ridicule, c’est de l’idéologie déconnecté de toute réalité, elles fantasment à fond leur délire paranoïaque tout à mon avis en n’ayant pas pratiqué et expérimenté grand chose dans le réel, pour elle tout homme est un prédateur en puissance et les femmes des pauvres petites choses toujours menacées, leur rhétorique grotesque est à la fois misogyne et misandre. 


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