vendredi 6 mars 2009 - par Epsilon

Les coûts de l’immigration

Dans Ce soir ou jamais le 2 mars, Jean-Paul Gourévitch, auteur du "Coût réel de l’immigration en France", tente d’introduire un peu de réalisme dans l’éternel débat sur l’immigration et l’émigration.

Débat avec Vincent Lindon (comédien), Eric-Emmanuel Schmitt (écrivain), Danièle Lochak (professeur de droit, ex présidente du GISTI), François Gemenne (chercheur politologue à Sciences-Po)...



1 réactions


  • The DarkMystery (---.---.201.78) 6 mars 2009 16:20

    Tous les économistes savent que dès lors qu’il y a un marché que se soit des flux de migrations ou des flux de travail. Il y a toujours des externalités qui se créent dans ce marché. Il est vrai qu’il y a des bénéfices mais les bénéfices entraine souvent des coûts pour certains. Le système, tout entier est régulé par ses phénomènes. Si vous voulez pousser la réflexion, il faut le voir sous la vision de Leibniz qui dit que "nous vivons dans le meilleur des mondes possibles". C’est vrai à un instant zéro. Le fait qu’un immigré riche vient en France est à la fois positif pour la France et négatif pour le pays de l’immigré. D’après Leibniz, on serait dans le meilleur des mondes possible car en fin de compte la balance s’équilibre. Mais après toute balance est régulé par une autre. Donc le fait qu’il y est un coup pour l’autre pays creuse le déficit et là il faut que la France jouent un autre rôle qu’elle ne joue pas à fond. C’est à dire, j’éclaircis ma pensé. Si le pays de départ se trouve lésé par la France et bien la France devrait jouer un rôle pour combler se manque. Ce qu’elle ne fait pas ou qu’elle fait partiellement. Là où Leibniz n’a pas poussé ça théorie, il y a un défaut, dés lors où la force mentale de l’homme joue un rôle. On peut parler ici d’une externalité partiel qui ne joue pas totalement son rôle !


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