mardi 27 octobre 2009 - par
L’ancien Garde des sceaux Robert Badinter évoque, à travers le cas de Francis Evrard, la question de la castration chimique et physique. Il s’y oppose fermement non sans rappeler non seulement les principes fondamentaux de la justice en Europe - "on ne coupe pas les mains des voleurs dans notre société, on le fait ailleurs" -, mais aussi qu’il existe un arsenal judiciaire approprié pour neutraliser les pédophiles, il suffirait simplement d’appliquer des lois qui existent déjà. Inutile d’en créer de nouvelles.
Badinter : "On ne coupe pas les mains des voleurs dans notre société"
L’ancien Garde des sceaux Robert Badinter évoque, à travers le cas de Francis Evrard, la question de la castration chimique et physique. Il s’y oppose fermement non sans rappeler non seulement les principes fondamentaux de la justice en Europe - "on ne coupe pas les mains des voleurs dans notre société, on le fait ailleurs" -, mais aussi qu’il existe un arsenal judiciaire approprié pour neutraliser les pédophiles, il suffirait simplement d’appliquer des lois qui existent déjà. Inutile d’en créer de nouvelles.