jeudi 22 août - par mat-hac

Urgences saturées : "Nos dirigeants se foutent de nous"

Une fois de plus, les urgences sont en tension cet été. Les patients et personnels de santé s'inquiètent de la situation. "Quand j'entends nos dirigeants dire : 'il faut 10 ans pour former un médecin'... Depuis le temps, on aurait déjà dû avoir deux nouvelles générations de médecins", déplore Barbara Lefebvre. Elle estime les politiques totalement responsables de cet état de surcharge.



4 réactions


  • Opposition contrôlée Opposition contrôlée 22 août 23:54

    Dès lors que tu appelles ces gens "nos dirigeants", t’es déjà baisée ma pauvre.


    • howakhan howakhan 23 août 08:03

      @Opposition contrôlée

      Salut, ça me semble juste de dire ça...
      ils se foutent de nous, oui bien sur c’est une des bases de ce métier de truands..parasite
      nota bene : eux coopèrent pour bien niquer les autres, les autres donc la masse remplie de gens bons, biens , au yeux de chacun, etc refuse de coopérer sur quoique ce soit, la masse veut la guerre entre tous pour avoir plus...
      nous récoltons ce que nous avons semé..
      rien de plus..


  • christophe nicolas christophe nicolas 25 août 10:49

    Les vax qui ont besoin fréquemment des urgences sont récompensés de leur civisme...


  • Eric_F 27 août 19:30

    Il y a recours plus fréquent aux urgences du fait de la pénurie de médecins de ville.

    Les postes ouverts dans les hôpitaux ne sont pas tous pourvus faute de candidats.

    Noter qu’entre 2000 et 2006, y a eu une forte hausse du numerus clausus des étudiants en médecine, qui s’est poursuivie plus lentement ensuite. On hérite de ’’classes creuses’’ de médecins matures, mais davantage de jeunes médecins

    Le nombre de médecins est à peu près constant, il est même reparti à la hausse, mais en attendant où sont passé les médecins qui font défaut au système de santé : labos, centres de remise en forme... ?


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