Un ultra conservateur, face à un objecteur de croissance post-monétaire
Débat courtois où la franchise donne un coup de balais aux discours langue de bois habituels.
Un débat comme vous en avez rarement vu en politique.
Extrait :
- Ce genre de dictature ça ne vous gêne pas trop ?
- Ha pas du tout ! Je suis très content de faire des affaires !
Alain Guillon est chef d’entreprises, élu à la chambre de commerce de Lyon, et membre du CNIP (centre national des indépendants et paysans), et Marc Chinal, chef d’entreprise également (d’une micro-entreprise) et objecteur de croissance post-monétaire, membre de VOTER AM. (voter "après la monnaie").
Un débat organisé par www.surftv.fr
9 réactions
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Supafaya
27 novembre 2012 16:01
La démocratie rend prospère les affaires nous dit ce monsieur Guillon en prenant pour exemple la Suisse et se contredit juste après en nous disant qu’il approuve le régime autoritaire du golfe qui rend ses affaires florissantes, encore un qui s’ fout d’ la gueule du monde.
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ThaTon
27 novembre 2012 16:13
Le présentateur est terrible.
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Le rapprochement avec Pol-pot est magistral ! -
soma
27 novembre 2012 16:56
Débat complètement absurde, toute la discussion est basée sur la production. Ce qui n’a pas de sens.
Ce Mr Guillon ne fait que réciter ses poncifs libéraux et, de toute évidence, ne s’autorise pas à se poser des questions de fond même en faisant des constats clairs par lui même ; "une oligarchie est au pouvoir", "le système est en faillite et non vertueux".Je note l’aveu d’échec de l’animateur tout a la fin "on avancera pas avec vous sur la question de l’après monnaie"...
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Voter Après la Monnaie
27 novembre 2012 23:23
<<<<Je note l’aveu d’échec de l’animateur tout a la fin "on avancera pas avec vous sur la question de l’après monnaie"...<<<<<
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c’est assez amusant de se voir reprocher de ne pas avoir répondu à des questions qui n’ont pas été posées... D’habitude, c’est l’inverse.
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<<<<Débat complètement absurde, toute la discussion est basée sur la production. <<<<
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C’est normal de parler "production" lorsque les gens ont peur de manquer ou manquent. (crises) -
soma
28 novembre 2012 15:34
@Voter après la monnaie
c’est assez amusant de se voir reprocher de ne pas avoir répondu à des questions qui n’ont pas été posées... D’habitude, c’est l’inverse.
C’est normal de parler "production" lorsque les gens ont peur de manquer ou manquent. (crises)Entendons nous bien, je ne te reproche rien, je constate simplement que tout ceci n’est pas très constructif car a aucun moment le pseudo-échange ne permet de sortir de la critique. Le "dérapage" sur pol pot est d’ailleurs révélateur du niveau de bêtise du contexte.
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libriste
27 novembre 2012 20:17
L’homme doit s’adapter et s’adaptera au système productiviste, il se pliera à la méga-machine comme le reste de la vie (forêts, océans, ressources, animaux, plantes, air,...).
Vive la croissance, la compétition et la concurrence. La décroissance est une solution figée sans avenir...Merci Marc pour tes actions médiatiques. Quel courage tu as de te battre contre des croyants
.@+
Marc-
Voter Après la Monnaie
27 novembre 2012 23:26
La première partie de ta réaction n’est pas entre guillemets, je ne sais pas si les lecteurs vont comprendre que tu fais de l’humour !
Merci.
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Machiavel
27 novembre 2012 21:42
Manifestement c’est l’ultra libéral qui mène la danse et qui nous crache à la gueule et le journaliste qui lui cire les pompes quand à l’objecteur de croissance il est bien consensuel devant ce genre de crapule qui se répandent avec suffisance sur nos médias .
tout ces pitoyables journaleux qui se vautrent dans la soumission au libéralisme de peur de perdre leurs privilèges de petits fonctionnaires du totalitarisme monétaire . -
actias
29 novembre 2012 01:56
il a raison avec les attache commerciaux qui glandent que dalle ... les embassades sont arrosées d argent public, c’est pas pour bosser.
Ceci moi je suis decroissant, mais tant qu’on aborde pas la necessité d une politique denataliste c est de la clownerie.
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