jeudi 23 avril 2009 - par politistution

Sarkozy contre "le terrorisme intellectuel"

Les mots de Sarkozy, à Nice. Le président de la République s’exprimait à l’occasion d’une table ronde sur le thème de la lutte contre l’insécurité et les violences. Il a affirmé vouloir lutter contre le terrorisme intellectuel et vouloir redonner des repères à une population qui en est privée. Suivez le guide !

Source : http://www.larageauventre.blogspot.com



5 réactions


  • The DarkMystery (---.---.195.182) 23 avril 2009 16:01

    On part dans la censure de l’opposition ! L’idée majoritaire(l’ump car le président constitue la moitié de la population à lui tout seul) doit mené et on doit supprimer les idées minoritaires (qui sont en éveille). Bendius ! Créfieux d’odouce ! Où allons nous, vers une autocratie qui sait ! Les anciennes lanternes de France vont-elle se réveiller face à cet affront !? Ô philosophe de la France unissons-nous ! Marchons et n’ayons pas peur que nos lumières s’éteignent ! Allons en quête de vérité et non en quête de prospérité ! Ne nous soudoyons pas face à l’argent, ne nous tentons pas à la tentation ! Forgeons la ligne de front, allumons la mèche afin d’éveiller les autres consciences !


  • Odal GOLD (---.---.30.241) 23 avril 2009 17:50

    Je crois qu’à Nice "très franchement, très librement", le petit homme agité a voulu nous convertir encore une fois au capitalisme fondamentaliste.

    C’est qu’il faudrait peut-être le prendre au sérieux, c’est qu’il ne rigole pas, lui.


  • mandelkorn (---.---.162.39) 24 avril 2009 16:07

    A cette époque, ce qui s’était énoncé sur le plan médical de façon très précise n’avait encore de ma part suscité aucunes interrogations. Mon occupation n’introduisait plus rien de neuf que de me prendre en charge physiquement, à partir du moment où tout ce qui a été noté de façon psychiatrique était définitive, je pensais qu’il n’y avait rien à redire.. L’observation décrite devant le médecin militaire avait dévisagé, scruté une apparence, en l’occurrence la mienne. ; Peut-on sans se tromper décrire avec succès une physionomie, un air qu’on disait bizarre. Peut-on à partir de termes traitant le sujet contrarié ou surpris dire qu’une partie était imputable et l’autre pas sachant qu’au fond du compte rien n’est imputable ; l’Armée dégage sa responsabilité sur le tout. Les écritures qui en ressortent relatent l’ensemble de manière très subjective et très abstraite. A l’origine, en prenant en particulier cet air particulier comme déterminant, un air qui je le rappelle fut qualifié de bizarre. . Faute de plus, l’intérêt a été ressenti de considérer plutôt que de connaître, via l’origine d’ afflictions jusqu’à y introduire une Thèse sur la Personnalité. En effet qui dit bizarre, dit étrange, dit phénomène inexpliqué, plus encore sous entendrait en dehors de l_ordre, de l_usage commun ? ; qui est singulier, extraordinaire.., Pour finir par entamer une cure de sommeil ? ;

    Dans le cas d’une dette de sommeil récente ou accumulée depuis longtemps, la cure de sommeil s’avère un moyen naturel d’y remédier. Que ce soit pour le plaisir ou par nécessité, dormir plus longtemps que la dose habituelle nous offre une assurance de santé. En étudiant les effets de la privation de sommeil sur le système immunitaire, les scientifiques en ont évalué son efficacité sur le bien-être en général. Une cure de sommeil brève consiste à dormir une douzaine d’heures pendant une ou deux nuits de suite. Peu importe que le sommeil soit continu ou fragmenté, le simple fait de rester au lit, sans dépenser d’énergie, permet au corps de reconnaître la possibilité qui lui est offerte de poursuivre le travail déjà amorcé par le sommeil régulier. En dormant plus longtemps qu’à l’habitude, un nettoyage en profondeur s’amorce afin d’éliminer les déchets dus à notre alimentation industrielle remplie de produits toxiques (colorants artificiels, additifs chimiques, pesticides, etc.). La réparation tissulaire est aussi augmentée par cette disponibilité énergétique. Les cellules endommagées sont remplacées par de nouvelles dans le but de maintenir la tonicité des tissus et les organes sont régénérés afin de restaurer notre vitalité. Le métabolisme étant au repos, l’énergie de guérison s’active. Les présomptions se chargent en quelque sorte de la preuve qu’en 1974, j’étais supposé être souffrant,, il s’agit d’une preuve qui consiste à rétablir la vérité à travers la présomption alors que comme d’autres médecins l’ont constaté, je n’étais pas enclin par le passé à consommer des barbituriques. Dans le civil, l’un des inventeurs de ce genre d’anxiolytiques a essayé de dissuader mes parents, de ne pas continuer, donc ne plus se fier aux idées d’un besoin absolu. De la part des expertises ce fut peut-être aussi le besoin de ne plus vouloir m’inhiber en éliminant un lien possible. J’étais plutôt subordonné à l’assujettissement de toute l’observation psychiatrique, tout s’est négocié au fur et à mesure de la reprise d’une activité civile. Un grand engagement est né de la part intime et familiale, la présomption comme le terme d’handicap a suscité un sentiment d’obligation à se rétablir. Il y a eu beaucoup de stupeur de la part des généralistes comme des spécialistes de traiter des cas apparents comme le mien, en tout cas un cas bénin comme le mien avec des études de validité scabreuses qui n’ont jamais permis d’établir une certitude, une validité. Néanmoins, mon cas m’a fait régresser civilement, mes anciens contacts sont devenus moins fréquents, mes efforts moins réguliers, mon ambition a stoppé et mon dynamisme a finit par disparaître, j’avais exclu un engagement militaire, mais le concept hospitalier du même nom me suivait maintenant dans ma vie civile au-delà de la période légale, j’escomptais reprendre une activité normale, notamment me recentrer sur un travail et des études, en tout cas reprendre une activité normale ; j’ai tenté de tenir bien loin de moi l’avatar que je venais de vivre mais j’ai en fait perdu de ma confiance au contact du suivi régulier induit par la demande psychiatrique qui a suivit.

    Le compte-rendu interministériel ne fait pas avancer les choses ; on y trouve une autorité parentale critiquée, le droit s’arroge l’autorité de la chose jugée... L’armée a montré des indices de présomption d’urgence (et de non-urgence pour des détails qu’elle elle est seule à révéler). Il semble préférable, en l’absence de consécration textuelle que ce type de présomption soit indiqué de la part du conseil médical qui y a prévalu en juste cause, le droit prévoit haut et fort qu’il s’agissait d’abus, même si l’on ne peut montrer par ordonnance médicale qu’il y ait eu une certaine avidité de soins à mon égard. Il me semble que je présente une dimension plus précise que l’État attaqué sur ses deniers, mon seuil souci est de démontrer que tout est partit d’une présomption visant des règles de preuve qui n’ont pas aboutit...

    Dans le cas d’une culture trop forte, il y a une forte séparation du père comme du concept psychiatrique vis à vis d’une culture réputée judéo-chrétienne, de même il y a l’idée d’une mère trop ENVAHISSANTE, l’idée de délit de relation. Or un juge ne peut sanctionner CE GENRE DE RELATION pour l’observation à haute échelle des personnes trop impliqué sur le psychisme ; Seule le concept psychiatrique signale une empreinte suffisamment forte pour convaincre qu’il y a délit relationnel n’ayant pas permis un défoulement obligatoire en son temps,... Toute présomption est d’une façon générale une ébauche, un semblant de preuve psychiatrique. Ce que je renversé par la preuve contraire. Le premier constat qui s’impose est celui de l’absence du concept d’autonomie au rang desquels des concepts juridiques utilisés couramment se substituent ou se désengagent. C’est ainsi que si on cherche “ autonomie ” ou “ autonome ” dans le Code civil ou le Code pénal, aucun article ne contient expressément les termes. Il en va différemment bien sûr, si on se livre à la même expérience au sein du Code de l’action sociale et des familles. Encore convient-il de noter que l’introduction du terme « autonomie » est très récente et a subi une explosion par l’intermédiaire de l’autonomie, et surtout par l’effet de la loi du 11 février 2005 “pour l’égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées”. La notion d’autonomie fait ici une entrée remarquée dans les droits spécialisés, mais ne pénètre pas encore les « monuments juridiques ».

    Pour autant, il faut admettre que les réalités couvertes par la notion d’autonomie ne sont pas ignorées par le droit. C’est ainsi que l’indépendance que suppose l’autonomie est prise en charge juridiquement par les principes de liberté individuelle et d’égalité civile. C’est ainsi que les facultés d’autonomie sont couvertes par la notion de capacité.

    Il y a quelques années, le constat d’une absence de prise en compte de l’autonomie aurait été rigoureusement identique en droit de la santé, mais une grande partie de l’effort législatif récent s’est précisément orienté vers la prise en compte de la décision du malade, replaçant l’autonomie du patient au cœur de la décision médicale.

    Mes parents se croyant obliger d’aller jusqu’au bout et moi pour ne pas être personnellement tenu responsable du caractère d’exception de cette problématique existentiel, contestant d’abord mon état avant de contester les commentaires et justifications, j’ai du suivre. On retrouve ici exactement les mêmes ambiguïtés que dans le droit commun. Par principe, les volontés exprimées ont été respectées, sauf à prendre en considération d’autres éléments, au rang desquels l’éthique qui tient d’ailleurs une grande place. Ainsi il est admis classiquement et depuis toujours que l’ordre public ou les bonnes mœurs sont un frein naturel au respect de l’autonomie. Appliqué au droit de la santé, on doit considérer que des raisons de santé publique peuvent inciter à ne pas prendre en compte toutes les volontés exprimées ? J’avais réellement conscience que ce que je vivais selon un mode apparent était lassant, tout n’était pas le fait de mes parents, mais d’autres reconnaissances qui marquait leur empreinte. La seconde interrogation me ramène à la force de la présomption d’autonomie. Ne va t-on pas parfois trop loin en postulant une autonomie générale différente sans prendre en compte suffisamment que la réalité des faits est plutôt supérieure. Le droit laisse de coté un nombre important de personnes sans réelles positions juridiques. Pour le monde médical, le questionnement éthique sur ce point est constant : à partir de quand dépasse-t-on l’apparente autonomie de l’autre ? Doit-on continuer à soigner sous prétexte de bienfaisance en opposition avec une autonomie exprimée si largement à l’encontre de la personnalité ? Est-on en capacité d’apprécier l’autonomie de l’autre et quel critère peut-on utiliser ? Autant d’interrogations qui ne font que poser les termes du débat qui me semble maintenant bien lancé.

    Or, le principe même de ces droits suppose non pas une présomption d’existence comme celle qui s’étend durant la période antérieure au jugement. C’est paraît -t-il l’état de psychose issue d’une famille très possessive, qui m’aimait à sa manière.

    Quitte à réorienter une décision médicale en fin de période, mon père a donc maintenu sa plainte au-delà des bâtiments médicaux, là où n’était pas le drame, celui-ci n’était pas plus présent pré période. Il devient lassant de l’annoncer aux différents protagonistes de cette affaire, je n’envisageais déjà pas de pouvoir confirmer que je n’avais jamais rien eu par le passé qui puisse s’assimiler à un trouble mental ; où qui se grefferaient sur des afflictions.

    En effet, c’est au mois de juillet 1974, qu’on m’intima sur ma seconde caserne, l’ordre fallacieux, d’aller voir les médecins PARCE QUE LES MEDECINS VOULAIENT ME VOIR. Chez tout un chacun, cela aurait aussitôt provoqué une grande interrogation plutôt qu’un refus, un manque de compréhension ou une légère plaisanterie, pour qui entendait sans comprendre, ceci était curieux. L’ordre se transforma « rejoindre une infirmerie » « consulter » C’est ainsi que sans grande confiance durant le trajet sanitaire et sans compréhension, j’étais en attente de voir. On jugea l’enfermement de mes idées à travers le temps actif, chose facile,.. . J’avais pratiquement rien opposé vis à vis de mon temps de garde et de corvée banale, le tout avec sérénité , je ne pouvais disposer d’anxiété, de nervosité à tout égard et pourtant, il n’y a qu’à lire. Au prime abord : Personnalité névrotique complexe avec élément d’immaturité, fatigue, angoisse, perplexité..., je n’étais pas déterminé à me plaindre, j’avais exécuté les jours précédents, mon travail comme à l’accoutumée. Pendant mon temps actif, je ne pouvais m’opposer aux excès de boissons, ce n’était pas mon rôle, encore moins de lutter contre des quolibets ou des plaisanteries de corps de garde, de plus, je n’en sentais pas le besoin d’affronter les fortes têtes que je rencontrais, il est vrai que les rapports fallacieux directs existaient, dans mon esprit je faisais mine de ne rien entendre, de me dérober. Je préférais être ignoré, que de me distinguer pour me faire voir BIEN je n’étais pas exalté au point d’aller tiré mon temps dans un hôpital psychiatrique. Lors d’une période de repos obligatoire et après une cure de sommeil sous piqûres, j’avais quitté l’idée de servir, l’obligation d’être soigné sans autre contrainte, j oubliais ma caserne de saint florentin, j’avais ôté de ma mémoire, un maximum de choses. Je ne pouvais rien redouter n’ayant rien en tête, si ce n’est anticiper. les faits quelques jours avant. Comprendrais-je un jour, non seulement ce point,, celui sur lequel ont planché les spécialistes.

    J’avais donc été dirigé un peu sans raison de SAINT FLORENTIN à JOIGNY, puis de cette infirmerie près de l’institut géographique des armées, vers l’Hôpital de Dijon , plus tard ma personnalité puis celle de mes parents a été analysé. Réfléchir sur ce passage bizarre que rien ne motive voici l’objet de mon discours, pourquoi avoir du analyser autant ma petite enfance, que la vie de couple de mes parents, et tout ce qui pourrait ressembler ensuite à un lien. Pour les psychiatres rien n’était grave mais tout était compliqué, ils étaient conscients que je ne l’ai avais pas alarmé directement, on m’avait amené devant eux A PLUSIEURS REPRISES de façon inopinée ; Mes parents ont toujours été des gens soucieux, Je ne peux consentir à laisser terminer ce jugement SANS rappeler avoir passé des vacances durant ma période dite de détente juste avant cette hospitalisation de l’année 1974.. Un médecin major a évoqué la nécessité de me faire suivre, un autre médecin a indiqué que le traitement sous neuroleptiques devait ne pas s’arrêter brusquement... Lorsque j’ai été dégagé des obligations légales, j’ai continué à dormir sous somnifères, les insomnies devenaient courantes. Rien dans mon devenir ne m’a menacé, au titre de la maturité ou d’un quelconque équilibre, il n’y avait jamais rien de gravissime, hors de cela, le contester serait bien sur un leurre, de la façon où cela est présenté, si je n’avais jamais été le cas décrit, il y avait l’intérêt de mieux me connaître comme de mieux m’adresser aux autres, la raison pour laquelle j’ai été soumis à cette discipline médicale ne m’échappait pas en totalité puisque cela ne pouvait que soulager, soigner ; en tout cas ne pouvait pas me nuire, d’ailleurs sous piqûres et dès la première journée, lorsque je suis resté évidemment sans dépendances autre que dormir, j’ai effectivement plus pensé à rien, ne pensant plus que j’avais quitté le service du matériel, ou même l’Armée mais je me sentais inférioriser, tellement habituer à un emploi du temps rigoureux, j’ai du casser le rythme, c’est une réalité qui mérite d’être souligné. , Bon mal an, la plainte fut déclarée administrativement non recevable, on fit appel, et depuis ce temps, les services concernés ne s’interrogent plus, tandis qu’à l’hôpital basé à Dijon, et à Clamart, ils s’interrogeaient beaucoup


  • mandelkorn marcel (---.---.162.38) 19 juin 2009 10:13

    Y avait-il des motifs sérieux de croire que je présentais un trouble réel pour moi-même ou pour autrui en raison de mon état mental, le tribunal peut constater, l’absence de preuves. Je ne parle pas de mon consentement puisque j’étais à l’Armée. J’étais gardé provisoirement dans une infirmerie à JOIGNY pour une consultation de routine puis je fus dirigé sur un établissement de santé des Armées (hôpital psychiatrique des armées de DIJON) pour y subir non pas un examen psychiatrique mais un congé de convalescence. J’ai appelé mes parents qui ont souhaité que je regagne dès que possible le domicile familial. Ils sont intervenus auprès du major du service, ce dernier a parlé de psychoticité et a indiqué qu’il consentait à me faire rapprocher sur l’hôpital PERCY de CLAMART mais qu’il fallait me faire suivre une fois libéré des obligations militaires.


    • mandelkorn marcel (---.---.162.38) 19 juin 2009 10:14

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      Né en 1952 à Paris, Marcel Mandelkorn est grand père d’une petite fille d’un an. De parents israélites, sa famille a subi les pogroms de Russie et les ghettos de Pologne. La plupart sont morts dans la débâcle de 1939. Il rêve d’éviter les pièges contemporains.

      Ceci se passe durant mon service militaire, les épisodes les plus anciens de 1975 n’offrent pas l’intérêt d’un socle psychiatrique suffisamment fort pour monter une gêne indemnisable. Néanmoins on ne sait pas ce qui fait dire de lui qu’il est classé personnalité pathologique ou psychose chronique. L’autorité de la force jugée en droit des pensions fait suite à une plainte déposée en justice par son premier psychiatre civil. Il y inimputabilité et à force irrecevabilité, le droit propose un reclassement professionnel qui invite à réfléchir sur l’emploi mais il est peu probable que la nouvelle action en appel change la chose véritable, c’est à dire l’abus et les propos fallacieux passés sous silence. On s’intéresse ici sur cette discipline mentale qu’est la psychiatrie. Il a été fragilisé mais tente de sortir grandi de cette expérience que je vous livre. Disponible en librairie ou sur internet : WWW.SOCIETEDESECRIVAINS.COM

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