Sarkozy à Saint Quentin : "je disperse, je ventile"
Mardi soir, à Saint-Quentin (Aisne), Nicolas Sarkozy n’a pas seulement rappelé les mesures mises en oeuvre par le gouvernement ces derniers mois et esquisser quelques pistes pour les mois à venir, il a aussi "ouvert la boîte à gifles", comme l’écrit Le Parisien
7 réactions
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Cet homme n’est pas un chef d’état, c’est un chef de guerre. Ces mots ne sont que de la haine, de l’autosatisfaction et du mépris. Les commentateurs, les socialistes, les grèvistes, bref tous ceux qui ne sont pas forcément d’accord avec lui, sont insultés. C’est ça un chef d’état ! il me rend fou. Son histoire de pudique ou pas pudique, je traduis : ferme-la et ça ira ou ouvre-la et tu verras ! Je suis indigné, j’ai pleuré le jour de son élection et je comprends pourquoi. Il faut se réveiller et lui rentrer dedans, son discours de vainqueur Américain il peut se le garder pour ses valets. Manifester contre la crise c’est débile on nous dis, eh bien manifestons contre ce Président avec comme revendication sa démission, c’est tout ce qu’il mérite, il faut l’arrêter avant qu’il détruise tout le travail de nos ancêtres ! c’est le liquidateur de nos acquis.
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Le travail de l’Etat n’est peut être pas de gérer les banques, mais ça ne dispense l’Etat de contrôler au plus pret l’activitée bancaire et de certains dérapages lamentables ! En période de crise, la responsabilité de l’Etat n’est pas celle de signer des chèques en blanc à ceux qui pour qui le système profite encore bien assez largement !
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lorsque vous lirez le lien suivant, vous comprendrez pourquoi il est temps de se revolter au nom de nos idéaux : http://voxx.over-blog.com/article-28831177.html
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Je cite : "Fini le responsable mais pas coupable". Les banques ne sont-elles pas responsables des conséquences de leur spéculation débridée ? Je cite : "Certains ont le devoir de parler, d’autres ont le devoir d’agir, moi j’ai le devoir d’agir". Malheureusement, il ne fait que parler. Je cite "le rôle de l’état, c’est d’écouter ceux qui ne protestent pas", sur un ton protestataire. Protester contre la protestation, en disant ne pas vouloir écouter la protestation ... Mais pourquoi n’écoute-t-il que lui, alors ?
Sarkozy semble en train de se monter le bourrichon et de se fabriquer un petit monde virtuel à la limite de la paranoïa. Ceux qui protestent seraient contre le capitalisme ? Mais qui veux croire ça ? Ils protestent contre le blocage des salaires, les licenciements et le transfert des dettes privées au secteur public, sur le dos des contribuables ...
A vrai dire, je ne sais s’il y croit ou s’il veut le faire croire.
Comme s’il n’attendait qu’un argument, du genre un onze septembre bis, pour suspendre les libertés politique ?
Au peuple d’en être conscient, d’être prêt à agir, sans provocation, uniquement aux moments opportuns, sans lui en donner l’occasion.
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Je cite encore (de mémoire) : "vouloir sortir du capitalisme provoquera la suspension des libertés" Mais non ! C’est lui, en tant que chef d’état, qui a le pouvoir de suspendre les liberté. Il n’a rien à craindre de ce coté-là : personne ne peut suspendre les libertés à son insu.
Ou alors, je n’ai pas bien compris le message...
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Alors que les hauts fonctionnaires de la COB (Comission des opérations boursières...) avouent leurs manques de réactivité par manque de moyens et d’outils face aux spéculations hasardeuses et risquées, n’est-ce pas à l’Etat de prendre "ses vraies responsabilités" et de mettre en place les gardes fous face aux banques et spéculateurs ! Sans vouloir donner de conseil, et sans aller jusqu’à souhaiter la nationalisation des banques Françaises, n’est-il pas légitime que les citoyens Français exigent quelques garanties, au lieu de se contenter de regarder impuissants les plus hauts dirigeants politiques de l’Etat signer encore et encore des chèques en blanc ? Alors Messieurs les représentants de l’Etat : faites vous aussi votre travail... Merci.
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