vendredi 31 janvier 2020 - par mat-hac

Pas de Quartier : "Macron ou nous : c’est maintenant !"

QG lance ce soir un live exceptionnel à la Maison de la Grève. Autour d’Aude Lancelin pour cette soirée, Olivier Terriot (CGT RATP), François Boulo (Gilet jaune), et François Bégaudeau (écrivain).



6 réactions


  • mat-hac mat-hac 31 janvier 2020 11:40

    Le débat c’est maintenant !


  • Julot_Fr 31 janvier 2020 18:52

    Je ne connaissais pas Begaudeau.. je vois qu c est une pourriture d intellectuel qui fait son boulot de deformation de la realite.. ne parle pas du phenomene collabobo (la gauche qui soutient Macron car elle est employee par le systeme et recoit la benediction de la morale officielle sur l immigration). Se focalise sur le capital au lieu de se focaliser sur les banquiers (les pme et les multinationales font partie du capitalisme, les pme pour le bien du peuple, les multinationales appartiennent a la finance). Pretend qu il n y a pas d exemple d alliance gauche droite populiste alors que c’est ce qu il a derriere les GJ.. DeGaule, Soral, l’union definte italienne entre Salvini et DiMao. En conclusion, il est comme Marx, volontairement ou non, ils bossent pour les banquiers en empechant l’union des mouvements populaires de droite et de gauche


  • V_Parlier V_Parlier 31 janvier 2020 18:57

    Deux heures de vidéo à se taper sans aucun résumé des idées principales. Si je me fie au titre, ça veut dire qu’ils ne veulent pas attendre les élections pour nous proposer une solution à la Syriza ? ( https://www.agoravox.tv/actualites/europe/article/la-grece-au-bord-de-la-rupture-33794 )


  • Orwell Orwell 2 février 2020 00:26

    Et ils espérèrent faire une révolution, en finir avec le capitalisme, juste en hurlant dans la rue ? Beh non, si vous ne faites qu’ouvrir votre gueule, ils vous la défoncent à coup de LBD. Il ne faut plus écouter les traitres de la CGT. smiley L’appel au blocage des raffineries est une excellente idée, rien n’avancera sans taper au porte-monnaie de l’état. Il faut soutenir les ouvriers gréviste de l’énergie en créant une caisse dédiée.

    Le plus triste dans cette réforme destructrice est l’exclusion progressive des citoyens. La classe dominante, qui fait 25%, voire 17%, en démocratie véritable, ne pourrait pas diriger, et donc ne pourrait pas appliquer son programme de Bruxelles. La seule réelle alternative collective c’est la démocratie directe. Si l’on doit voter c’est pour des projets et non des personnes. On peut avoir des mandataires, des gens missionnés avec des objectifs de résultats sur une période définie mais pas des élus sans obligation et sans révocation.


Réagir