Mise au point sur l’ONEST - et réponse à M. Sébastien Recchia
La logique du soupçon et de l'accusation est un poison qui ravage les esprits et sème la division.
Conduisant à une hystérisation du débat et à une intolérance de plus en plus comparables dans le camp des opposants à ce qu'on observe de la part de nos oppresseurs.
Bien des personnes m'ont gentiment conseillé de "laisser tomber" mais je crois à l'inverse qu'il importe de proposer des perspectives éclairantes sur ces phénomènes pour ne pas leur laisser le champ libre.
Dans cette émission, je parle des collectifs de protection des enfants contre la sexualisation des programmes de l'OMS (présentés comme "éducation sexuelle" à l'école), des arguments d'autorité et de la division qui est le vrai objectif de ceux qui veulent régner sur nous...
Est-il encore possible d'exprimer un désaccord dans le cadre d'un débat d'idées respectueux et serein ?
1 réactions
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JL
8 juillet 2024 16:15
Il faudrait peut-être commencer par se mettre d’accords sur la définition stricte des mots afin d’éviter les confusions de langage.
Il est probable que les pédophiles, mais pas qu’eux, confondent par ignorance, sexualité et génitalité. Sexualité et génitalité ne sont pas synonymes.
Quand quelqu’un dit que les enfants n’ont pas de sexualité, il répète probablement cette phrase, mais sans l’avoir bien comprise : « on ne nait pas femme, on le devient »
N’oublions jamais que la compréhension est une adéquation à nos intentions. C’est ce que j’appellerai le principe cognitif de base auquel personne n’échappe, et qui ne devient un biais cognitif que si nous nous leurrons nous(-mêmes ou trompons sciemment autrui sur nos intentions véritables.