jeudi 21 octobre 2010 - par
Marine Le Pen à Toulouse
Le dimanche 17 octobre 2010, Marine Le Pen était à Toulouse pour la campagne interne du Fn. A l’occasion d’une conférence de presse elle s’exprime sur l’Europe, l’euro, la réforme des retraites ainsi que sur les syndicats.
Morceaux choisis :
"Le choix du gouvernement est clair c’est le choix de la soumission aux dogmes de l’Union européenne"
"La libre circulation est organisée par les mondialistes pour des raisons économiques pour chercher de la main d’œuvre à bas coûts, c’est ce qu’ils ont fait dans les 20 dernières années avec les travailleurs manuels et a basse qualification et c’est ce qu’ils feront demain avec la carte bleue européenne pour les salariés hautement qualifiés, ils chercheront des informaticiens, des infirmières, des médecins des ingénieurs, pour peser à la baisse sur les salaires des français".
"Attila est de retour et a encore fait quelques propositions empreintes d’un grand humanisme : faire payer aux cancéreux leurs soins"
"Tant que nous resterons dans ce système monétaire international auprès duquel on nous a obligé d’emprunter à partir de 1973 nous n’arriverons jamais à nous désendetter et même nous nous sur-endetterons jusqu’à la faillite totale".
"Cette réforme des retraites, elle est déjà dealée entre les syndicats et l’Etat".
"Les syndicats sont complices, ils ont accompagné la concurrence déloyale"
Morceaux choisis :
"Le choix du gouvernement est clair c’est le choix de la soumission aux dogmes de l’Union européenne"
"La libre circulation est organisée par les mondialistes pour des raisons économiques pour chercher de la main d’œuvre à bas coûts, c’est ce qu’ils ont fait dans les 20 dernières années avec les travailleurs manuels et a basse qualification et c’est ce qu’ils feront demain avec la carte bleue européenne pour les salariés hautement qualifiés, ils chercheront des informaticiens, des infirmières, des médecins des ingénieurs, pour peser à la baisse sur les salaires des français".
"Attila est de retour et a encore fait quelques propositions empreintes d’un grand humanisme : faire payer aux cancéreux leurs soins"
"Tant que nous resterons dans ce système monétaire international auprès duquel on nous a obligé d’emprunter à partir de 1973 nous n’arriverons jamais à nous désendetter et même nous nous sur-endetterons jusqu’à la faillite totale".
"Cette réforme des retraites, elle est déjà dealée entre les syndicats et l’Etat".
"Les syndicats sont complices, ils ont accompagné la concurrence déloyale"