MAM en Tunisie : "J’ai toujours payé mes vacances"
Le Parti socialiste réclame la démission de MAM. A droite, sans aller jusque-là, on désapprouve la destination de la ministre lors de ses vacances hivernales, à l’image de Gérard Longuet, le chef de file des sénateurs UMP :
10 réactions
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pyralene 2 février 2011 15:10Misérable et affligeante comme à son habitude......
elle ne mérite pas d’être une femme... -
cathy30 2 février 2011 15:46ça sent de plus en plus les vacances dans une quelconque ambassade pour alliot marie
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cillau 2 février 2011 17:21c’est plus clair maintenant,je comprends mieux pourquoi mam a voulu envier de l’aide a benn ali.également pour mettérand qui passé ses vacances en tunisie, y a que les interrets qui compte, le peuple qui souffrent on s’en fou.
la même chose pour l’egypte,sur toutes les chaînes on entend,ceci moubarak ben ali sont le rempart pour l’europe c’est indécent cette pensée, alors que les ricains ont envahi l’irak pour instaurer une démocratie,un millions de mort pour des mensonges,voila la politique des européens -
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GAIPORC 2 février 2011 19:04Quelle courage et nerfs d’acier que ceux de MAM. En pleine révolution tunisienne braver le danger pour offrir à sa famille des vacances bien légitime.
Il y a des choses plus graves mais plus moche ça c’est moins sur !! -
horchani 2 février 2011 19:08Responsable Passive !
Madame la Ministre, si vous étiez Ministre des Affaires Etrangères sous Le Général de Gaulle, auriez-vous accepté, pendant d’éventuelles vacances en Espagne, les faveurs d’un proche et/ou d’un soutien notoire du Général Franco ?
Sachez, Madame la Ministre, que, par votre inconscience et/ou par vos relations ambigües, avec les proches et les bailleurs de fonds du régime Ben Ali, qui plus est pendant les moments difficiles de notre « Révolution de Jasmin » et compte tenu du Poste que vous occuppiez, vous êtes un peu responsable, passivement, du sang de nos Martyrs.
HORCHANI Salah
Professeur à la Faculté des Sciences de Tunis
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Hijack 2 février 2011 23:19Je reproduis ci-dessous, la lettre de Eva-R ... adressée à M.A.M ... où elle lui écrit ce qu’elle pense d’elle ... mais je doute MAM ait assez de conscience pour se rendre compte de la réalité que décrit Eva si parfaitement.
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Lettre ouverte à Mme Alliot-Marie, par eva R-sistonsMadame,
Je ne comprends pas. Vous êtes Gaulliste, je le suis aussi. Et pourtant, un abîme nous sépare. Parce que je suis Gaullienne plus que Gaulliste (fidèle à un idéal, une vision, pas à un Système), ou parce que je suis Gaullienne de gauche ? Ou tout simplement parce que vous êtes infidèle ?
Je ne vous comprends pas, Madame. Vous avez fait allégeance à un Président qui détruit la France, ses valeurs, ses traditions, son âme. Vous servez un homme qui a été programmé par l’Étranger - anglo-saxon et israélien - pour liquider toute trace de gaullisme en France. En osant même enchaîner le navire France à l’OTAN, donc à sa perte. N’avez-vous pas le sentiment de renier tout ce qui fait le Gaullisme authentique ?
Le Gl de Gaulle aimait la France, Sarkozy a pour modèle les Etats-Unis et pour maître Israël via le Crif.
Le Gl de Gaulle était un rassembleur, Sarkozy est un diviseur.
Le Gl de Gaulle était un homme d’Etat, servant avec passion son pays, Sarkozy sert le Veau d’Or et ses amis milliardaires. Et il se sert, au passage. Grassement. Alors que Charles de Gaulle payait la moindre communication de téléphone personnelle, Sarkozy, lui, ne paie même pas d’impôts ! Et il se goinfre comme un nouveau riche, avec l’argent des contribuables, de surcroît vulgairement. Notre pays était respecté, il est aujourd’hui la risée de tous.
Suite et source :
http://r-sistons-actu.skynetblogs.be/archive/2011/02/02/lettre-ouverte-a-mme-alliot-marie.html
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poetiste 18 février 2011 14:58Allo MAM ment, bobo ! Qu’est-ce que tu as fait, c’est pas beau. Allo MAM ment, bobo, allo MAM ment, bobo !
La compromission ordinaire soutenue par un régime auquel on fait ordinairement allégeance et qui en échange, offre sa protection.
Si le vassal ne va pas propre, c’est banalisé, avalisé et avalé dans le fatras des affaires toxiques de plus en plus nombreuse et courantes.
L’indigne ne nous indigne plus, il ne fait que de petits remous parmi les mous.
Les mots râlent mais sans la morale.
Le clape vient de se faire entendre : action ! Mais c’est pour le film, pas pour la révolution.
Et le cinéma continue.