Le Pen - Pujadas : le clash
12 réactions
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extralucide
22 mars 2010 14:02
Normal, le deuxième nabot maléfique, Bernardo Pujadas, n’est là que pour interrompre les opposants. Il faut reconnaître que JMLP l’a bien remis à sa place. .
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therasse
22 mars 2010 14:21
Le rôle des présentateurs français est trop souvent d’interrompre les intervenants quand ils dérangent le politiquement correct et de donner la parole en fonction des idées, de la thèse qu’ils sont chargés de porter par l’establishment.
C’est ce qu’on appelle la presse ou les médias d’opinion.Le but n’est plus d’informer, d’amener à réfléchir en présentant des points de vue contraires, mais bien de formater le populo comme le souhaitent les élites politico-médiatiques et le CSA UMP.Je n’ai pas de sympathie particulière pour Le Pen ; ce qui précède n’est qu’un constat général quant à l’attitudes des vedettes de l’info. -
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ProPeace
22 mars 2010 16:11
"Alors que Jean-Marie Le Pen intervient en duplex sur France 2 lors de la soirée électorale des régionales, David Pujadas l’interrompt pour le questionner."
En fait, il était en duplex avec à peu près toutes les chaînes parlant des élections, comme tous les autres stars de cette soirée politicienne...
Résultat, alors que j’étais sur une autre chaîne, je vois Le Pen s’énerver tout seul devant la caméra... !!!
Oo
Puis, en faisant attention au bruit de fond, je crois reconnaitre la voix du journaleux de France 2...
Re-Oo
Je zappe sur France 2,
et je vois notre journaleux qui se prend la tête avec Le Pen... !Moi, mort de rire, forcément,
mais je ne peux pas m’empêcher de penser que cette embrouille était préparée à l’avance...En effet, combien, sur les autres chaines, ont, comme moi, zappé sur France 2 à ce moment là ?
Mmmmh... ?
< ;oP
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joelim
22 mars 2010 19:30
Pujadas est si niaisement auto-satisfait avec sa gomina et son cirage dans ses cheveux (il devient l’archétype de la « tronche de 1er de la classe » cher à Coluche) qu’il en arrive à faire passer le Pen pour presque sympathique. Alors que, pour cette fois, il n’y avait guère matière à protester.
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