La création monétaire, c’est le pouvoir. Pas de démocratie sans crédit
Une intervention de plus, cette fois-ci à l'UNESCO, à l'occasion du 70ème anniversaire des Citoyens du Monde, le 26 novembre 2018...
6 réactions
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mat-hac 13 décembre 2018 13:22-
mat-hac 13 décembre 2018 13:41
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edwig 13 décembre 2018 17:51Cher Français, Je suis Belge et je suis fier de vous avoir pour voisin. Vous êtes géniaux.
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ged252 13 décembre 2018 19:32La seule chose qu’il dit c’est que le capitalisme, c’est le pourvoir des banques de préter de l’argent A QUI elle le veulent. De choisir à qui elles préteront et à qui elles ne prêteront pas.
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Le fait de cultiver ses propres légumes, c’est du libéralisme, et on n’est pas dans une société libérale, contrairement à ce que tout le monde dit
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Jean Keim 14 décembre 2018 09:02Je suis content de ne pas être passé à côté de cette vidéo, je ne sais pas trop qui est le monsieur qui parle et l’UNESCO fait partie de ces nombreux machins qui sont sur la liste des grands machins qui existent pour..., bon ! Peut importe, mais rares sont les gens qui identifient clairement le problème des problèmes, à savoir l’argent-fric, et qui disent cette chose inouïe, que modestement je crie à tue-tête chaque fois que je le peux, il faut supprimer l’argent-fric, tant qu’il sera actif, il n’y a aucun espoir qu’un monde nouveau, c’est-à-dire une nouvelle civilisation émerge.
L’argent ne doit pas pouvoir être thésaurisé, détourné, spéculé, prêté avec intérêt..., il doit être automatiquement détruit quand au bout d’un laps de temps à définir, il n’est pas utilisé ; chacun doit en avoir une part suffisante pour vivre décemment, cela s’appelle le partage, le plus évident serait que le travail et ce qu’il produit soit partagé, le travail est du temps de vie donné pour la communauté, une heure de vie d’un travailleur manuel vaut autant, ni plus ni moins, qu’une heure de vie d’un travailleur intellectuel et vice-versa, personnellement je pense que toute heure de travail devrait être rémunérée de la même façon, mais pour le moment les consciences ne sont pas prêtes pour accepter cette évidence, alors les différences de revenus doivent être raisonnables, je ne saurais avancer un chiffre.
Dans une telle perspective, il n’est pas question que des gens restent sur le carreau parce qu’ils sont pour quelques raisons que ce soient, malades, inadaptés, handicapés, inaptes...
Il est évident, toujours dans cette perspective, que la sécu, les mutuelles, les caisses de chômage, de retraites, les assurances, les comptes en banque, etc., seront des dispositions obsolètes.
Dans un telle environnement où chacun se sent en sécurité, beaucoup de problèmes de santés disparaîtront, l’industrie pharmaceutique devra se recycler dans les tisanes.