vendredi 12 janvier 2007 - par Paul Dallio

L’Europe de Le Pen


On ne peut pas vraiment dire que Le Pen soit un pro-européen. Dans ce discours, il explique très clairement sa vision de l’UE. Un applaudissement à l’Angleterre, et une claque à la Turquie.



3 réactions


  • Aérien (---.---.94.89) 16 janvier 2007 12:06

    C’est limpide...

    Ce qui est vraiment amusant, enfin, en quelque sorte, c’est de voir les tenants de l’europe traiter le pen de fachiste alors que, subrepticement, par petites touches, l’europe devient une nouvelle URSS avec à sa tête des personnages qui n’ont aucune légitimité démocratique, qui se sont octroyés un pouvoir sans contrôle et n’ont de compte à rendre à personne.

    Ils ont décidé pour nous, sans rien nous demander. L’exemple turc est parfaitement clair. Les européens ne veulent pas de la turquie en europe mais les oligarques en ont décidé autrement, n’est-ce pas...

    Voila ce qui pourrait être une belle définition du mot "dictature". Comme quoi la liberté et la démocratie ne sont pas toujours là où on les attend !

    La dictature avance masqué et s’appelle socio-libéralisme...

    J’ai bien plus peur de ségolas sarkoyale que de le pen.


  • madgick (---.---.27.162) 19 janvier 2007 02:16

    Je vous invite à comparer ce que raconte Jean Marie, et plus généralement le FN, et ce que nous raconte Maurice Allais, notre seul prix Nobel d’économie... http://allais.maurice.free.fr/Europe.htm Et à vous faire votre propre opinion.  smiley


  • Christoff M (---.---.122.214) 21 janvier 2007 06:01

    Mr Le PEN a le courage de dire ce qu’il pense...

    Ce qui n’est pas le cas de nos deux candidats PS- UMP ; deux cinquantenaires élégants qui présentent bien, mais qui n’ont pas vraiment de programme, et pas vraiment d’opinion émise ... tout cela nage dans un beau flou artistique, peut être est ce cela la pensée juste ! En tout cas être dirigé par un petit cadre bancaire ou une directrice d’école cela n’a rien de rassurant non plus ...

    Si on parlait un peu moins moins de Le PEN, il serait petre moins mis en avant, moins présent mais s’il est là, c’est qu’il y a un sérieux manque de convictions et de contenu dans les discours des deux grands partis classiques .... attention rappelez vous 2002.


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