Journal de Bord de Jean-Marie Le Pen
Analyse des faits de la semaine. Les élections de Brignoles et de Marseille, l'expulsion de Leonarda, les rôles de Valls et Taubira, les manifestations des étudiants, la laïcité, la réforme des retraites, la crise de l'agro-alimentaire en Bretagne, et le pauvre con de la semaine :
12 réactions
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Arsene Icke
18 octobre 2013 08:22
Je pense à Alain Soral qui est attaqué par Alliot pour avoir été le "con du mois". Lors de l’audience il ne faudra pas oublier de demander à Alliot si il pense que les "pauv’ cons de la semaine" de Jean-Marie devraient aussi attaquer en justice. Alain, si tu me lis ...
Par ailleurs, sur la plupart des sujets, Jean-Marie est plutôt pertinent, comme à son habitude. -
Soi même
18 octobre 2013 09:56
Le paradoxe en France, c’est que tous veuillent la justice et en même temps sollicité des hommes politiques qui non pas d’autres valeurs personnelles avant tous se bâtir une fortune.
Ces paroles de se monsieur a quel porté réel pour le devenir de la France, quand on connaît sa moralité plus que trouble de son passé ? -
enzo
18 octobre 2013 12:00
Lire la suite ▼"...et en même temps sollicité des hommes politiques qui non pas d’autres valeurs personnelles avant tous se bâtir une fortune..." !
"Ces paroles de se monsieur a quel porté réel pour le devenir de la France, quand on connaît sa moralité plus que trouble de son passé ? " !
"...Ces paroles de se monsieur..." !"...a quel porté réel ... " !"...quand on connaît sa moralité plus que trouble de son passé ?..." !eh bien toi alors ... tu cause bien la France !hi hi hi !-
Jean Rigole
18 octobre 2013 18:11
Je me permets de prendre le relais, enzo ! Je ne puis y résister.
Soi même (SM) persiste et signe : « je suis probablement nul en culture orthographique, mais je n’es pas perdue pour autan le parcours de se monsieur qui n’est pas une référence de la moralité politique. »
a) « je suis probablement nul en culture orthographique »
Il est plus convenant de dire vous concernant : je suis nul en orthographe et en grammaire.
b ) « mais je n’es pas perdue pour autan le parcours de se monsieur »
« n’es », « perdue », « autan » et « se » confirment a)
Le doute s’installe à vous lire, car vous avez indéniablement perdu quelque chose. Il est préférable de dire : mais je n’ai pas pour autant perdu le parcours du maître.
Vous voyez, SM, il est même possible de changer le sens d’une phrase en écrivant correctement ! -
Jean Rigole
18 octobre 2013 19:06
Désolé, Soi même ! Je n’ai pas compris le sens de ton intervention et j’ai eu mal aux yeux en te lisant ! C’est un réflexe pavlovien. Peut-tu développer ce que tu entends par « moralité plus que trouble de son passé » ?
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juluch
18 octobre 2013 16:00
Toujours aussi bon l’Ancien .......................Honneurs à vous Jean Marie Le Pen.
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wesson
18 octobre 2013 21:09
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