vendredi 2 octobre 2009 - par buzzmoica

Jean-Marie Le Pen doute de la version officielle du 11 septembre 2001

Invité de Guillaume Durand sur Radio Classique le 28 septembre 2009, Jean-Marie Le Pen a exprimé ses doutes sur certains points de la version officielle des attentats du 11 septembre 2001 et particulièrement sur le Pentagone.

Le leader du Front national avait déjà exprimés de sérieux doutes sur cette question en août 2008.



4 réactions


  • abdelkader17 2 octobre 2009 12:24

    le petit soldat de la pensée Durant, faux cul médiatique par excellence utilise encore et toujours le terme négatio sioniste,principal argument du terrorisme intellectuel contemporain,Le pen est comme des millions d’autres ils bénéficient de ses sens que l’inquisition médiatique voudrait nous ôter. on a détruit l’état Irakien,l’Afghanistan, sur la fabrication de mensonges éhontés, comble du cynisme c’est devenu le crédo de la guerre humanitaire.


  • plebius plebius 2 octobre 2009 15:23

    Jean Marie Le Pen doute de la version officiel -> Bien !

    Jean Marie Le Pen reste un gros facho de merde -> Pas Bien !

    Faites vous votre idée par vous même.


  • therasse 3 octobre 2009 21:07

    Immondes sont ces journalistes qui utilisent cette stratégie d’assimilation à l’extrême droite afin de tenter de discréditer tous ceux qui, non satisfaits des explications officielles, souhaitent la vérité sur les attentats du 11 septembre.

    Je suis entouré de gens qui doutent de la version officielle et qui sont idéologiquement très loin du fascisme ou de l’extrême droite.

    Et ces gens, en raison de l’attitude de ces médias serviles, contrôlés par leurs patrons également marchands de guerre, finissent par ne plus leur accorder aucun crédit quel que soit le domaine d’actualité traité.

    Internet constitue le dernier refuge pour tous ceux qui ne se contentent pas de subir mais souhaitent demeurer acteur de leur vie et de la société qui les entoure.


  • Andromede95 Andromede95 2 juin 2011 20:58
    Rappelons que parmi les précurseurs de la thèse de l’implication gouvernementale dans les attentats du 11 septembre 2001, il y avait American Free Press, une organisation d’extrême-droite aux Etats-Unis. Il ne faut donc pas s’étonner que Jean-Marie Le Pen n’y soit pas insensible non plus. D’ailleurs, au cours de sa longue carrière tumultueuse, cet éternel persécuté a été la cible d’une multitude de complots paraît-il...

    Le doute n’est pas voltairien mais cartésien. Qu’importe la différence entre Voltaire et Descartes, c’est un « point de détail »... Le doute est le premier pas vers la science, mais le doute de Jean-Marie Le Pen est plutôt un pas vers sa « science » : « Les sidaïques, en respirant du virus par tous les pores, mettent en cause l’équilibre de la Nation. (...) Le sidaïque (...) est contagieux par sa transpiration, ses larmes, sa salive, son contact. » (L’heure de vérité, Antenne 2, 6 mai 1987).

    Quant à ses doutes sur le 11 septembre 2001, Jean-Marie Le Pen (et par la suite Roland Dumas) ne fait que reprendre l’une des premières marottes de Thierry Meyssan : le fameux trou de quelques mètres de "diamètre" visible au 1er étage du mur du Pentagone, tout en ignorant l’étendue des dégâts au rez-de-chaussée. En plus, ce trou est rectangulaire, et pour cause : c’est une fenêtre ! Un fenêtre intacte, enfin presque, puisque le haut du cockpit a frappé au bas de cette fenêtre. Moralité : quand un conspirationniste lance une ineptie, d’autres la répètent comme des magnétophones au lieu de réfléchir par eux-mêmes.

    À l’instar des conspirationnistes, JMLP aurait également aimé voir des grosses pièces d’avion reconnaissables telles que les ailes ou la carlingue, alors que le crash sur le Pentagone est d’une rare violence, à plus de 800 km/h... Quant aux pièces de moteurs, il suffit d’un tout petit peu de bonne volonté pour en trouver des photos sur le Net. Mais il ne faut pas trop en demander aux pseudo-chercheurs de vérité que sont les « truthers ».

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