mercredi 10 novembre 2010 - par Epsilon

Houellebecq : "Sarkozy est un type sincère"

L’interview plus complète de Houellebecq :
 


14 réactions


  • Cascabel 10 novembre 2010 16:16

    Quel imbécile.
    Tout d’ abord il réduit la modernité au simple usage de gadgets technologiques et ensuite, pour bien enfoncer le clou, il estime les travaux manuels réservés aux idiots congénitaux.
    Cela ne mérite même pas de commentaires.


    • juvenal juvenal 10 novembre 2012 00:46

      Oui tout à fait d accord avec toi , il n y a plus qu’à tirer la chasse !


  • Uluter 10 novembre 2010 16:51

    En France aujourd’hui, pour être accepté en tant qu’intellectuel-rebelle du système, les ingrédients sont les suivants :
    -Sortir des énormités et se contredire le plus possible
    -Ne jamais être du même avis que le bas peuple (Sarkozy est sympa et sincère, De Gaulle était pas si bien que ça, Raël ? je l’aime bien moi)
    -Se coiffer avec un ventilateur
    -Surtout ne penser et ne parler que de soi-même au bout du compte
    Et le plus important :
    -Faire entièrement partie du système


    • FrenchGreg 12 novembre 2010 09:30

      Des debilites sur l’Islam ? Il a dit que c’etait a ses yeux la religion la plus con. 

      Ce n’est pas votre avis, mais il a le droit d’avoir cet avis.

    • Bender Bender 14 novembre 2010 14:08

      Il y a aussi des imbéciles qui disent que le christianisme est la religion la plus con... Et c’est tout aussi débile !!


  • joelim joelim 10 novembre 2010 19:22

    Sur Karachi, Sarkozy est un type sincère. smiley


    Sur l’affaire des sondages de l’Elysée, Sarkozy est un type sincère. smiley

    Sur Clearstream, Sarkozy est un type sincère. smiley

    Sur la surveillance des journalistes, Sarkozy est un type sincère. smiley

    Sur les enveloppes kraft de chez Maâme Bettancourt, Sarkozy est un type sincère. smiley

    Et Houellebecq est un sacré clown. smiley 

  • joelim joelim 10 novembre 2010 19:43

    J’y suis : il souhaiterait obtenir une légion d’honneur. 

    Tout s’explique. smiley 

  • DIVA DIVA 10 novembre 2010 20:32

    Les méfaits de la drogue chez les autistes !


  • Canine Canine 10 novembre 2010 20:51

    Un auteur qui vieillit très mal.


  • dom y loulou dom y loulou 11 novembre 2010 03:08

    et dans la même veine morderirique

    le Goncourt aime les lumières

    lololol


  • warsen 11 novembre 2010 12:48

    Je ne comprend pas qu’un type intelligent tombe aussi bas et nous balance des âneries aussi grotesques.
    Son champion est sincère !!!!!Avec qui ???????
    Sûrement pas avec les français qui suent pour gagner leur croute.Ni avec la justice d’ailleurs.


  • pyralene pyralene 11 novembre 2010 21:57

    Un lèche burne qui remercie celui qui lui a fait avoir son prix de tartuffe.....
    Poubelle !


  • Yacine Yacine 12 novembre 2010 14:49

    Je rève ou il a dit "Malgré que ..." à la 28ème seconde !!!!!??? la honte pour ce "si grand" écrivain


  • Raphaël Zacharie de Izarra Raphaël Zacharie de Izarra 16 novembre 2010 18:02
    HOUELLEBECQ, ROI DES "CONCIERGES EN REVOLUTION"
     
    Avec sa tête de pauvre type Houellebecq écrit des livres de pauvres types.
     
    Auteur d’une littérature minable écrite pour des minables qui l’adulent, cette face d’avorton a la plume rase, le verbe bas, la pensée vile.
     
    Houllebecq est le chantre des ratés. D’où son formidable succès.
     
    Dans ses livres il a placé sans complexe le Dupont sur un trône -celui de l’insignifiance mais peu importe, un trône est un trône à ses yeux- revendiquant le droit de faire régner la loi du commun -pour ne pas dire du rien du tout- sur les étagères les plus prisées des bibliothèques. Au nom de son air d’abruti.
     
    Chez Houellebecq les petits présentés comme des victimes de leur petitesse gagnent toujours du début à la fin : avec lui c’est la revanche des eaux troubles de la sexualité sur l’onde pure de l’esprit, le triomphe de la fosse des sentiments sur la verdure des sommets, la gloire du quotidien inepte sur l’intemporel vol de l’âme, la victoire des êtres médiocres et de leur oeuvres crasseuses sur les neiges éternelles de l’Art.
     
    L’époque étant comme on le sait à la totale dégénérescence littéraire, Houllebecq est le plus fameux de ses représentants.
     
    De ce déchet de notre civilisation en pleine dérive culturelle, on a fait une légende vivante.
     
    Roi des Dupont auxquels il s’adresse, Houllebecq est un produit marketing performant, inusable, réutilisable à chaque rentrée littéraire ! Il suffit juste de changer l’emballage de ses bouquins chaque année. Bref, la gloire des éditeurs. Pardon, des vendeurs de papiers.
     
    Houellebecq est un phénomène : chacune de ses apparitions télévisées est un événement.
     
    Dès que passe sur les écrans plats de la France attablée sa tête molle de vieux puceau frustré et libidineux, il fait chavirer le coeur des ménagères monoparentales ménopausées, miroiter des jours encore plus tièdes aux concupiscents concierges constipés, espérer un sirop de bonheur pseudo littéraire toujours plus vil et fade aux minus malades, comme lui, de leur existence de nabot.
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    Complément de l’article
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    Pour rappel, voici ,un extrait de l’interview par Vignale (texte numéro 509) au sujet de la littérature :
     
    Vignale - Quels sont les auteurs contemporains qui ont vos faveurs littéraires ? Houellebecq vous touche-t-il davantage qu’un Beigbeder, un Zeller ou un Moix ou bien vous ne lisez que les morts ?
     
    Raphaël Zacharie de IZARRA - Je suis fièrement inculte. Vierge de bien des influences mais non point sans avis. Je connais les titres et les têtes des écrivains actuels, mais guère plus. Rares sont ceux qui ont su me plaire avec leurs mots. Je possède une intuition étrange : je sais reconnaître un auteur de valeur sans ouvrir un seul de ses livres, juste en lisant sur ses traits. Car la Littérature transparaît sans fard sur la face des auteurs dignes de ce nom. Sur leur front, moi je la vois dans sa vérité. La Littérature ne m’échappe pas.
     
    J’ai l’oeil pour ces choses. Et lorsque je vérifie les écrits de l’auteur ainsi sondé, je constate que je ne me trompe jamais. Celui qui parle en auteur mais qui n’a pas l’éclat de la Littérature entre les deux yeux, je le sais avant même de lire sa première page.
     
    J’estime sans l’avoir lu que Houellebecq, s’il possède effectivement quelque plume (pour avoir survolé de très loin une ou deux de ses pages, je n’ignore pas de quoi je parle) manque singulièrement de hauteur ne serait-ce que parce qu’il a commis l’impudeur de montrer sa face aux caméras de télévision. Trivialité impardonnable pour un auteur digne de ce nom.
     
     
    Raphaël Zacharie de IZARRA

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