jeudi 29 septembre 2011 - par Enquête&Débat

Frédéric Nihous (CPNT) : Si j’étais président


Après Nicolas Dupont-Aignan, Frédéric Nihous (CPNT, Chasse, Pêche, Nature et Tradition) est le second candidat à la présidentielle que nous interviewons. Nous l’avons soumis aux questions de l’interview “Si j’étais président”, que d’autres copient sans jamais nous égaler. Sous la vidéo vous trouverez les questions qui lui ont été posées.

 

1. Quelle serait votre première mesure et pourquoi ?


2. Si vous deviez résumer votre stratégie pour la France en un mot, quel serait-il et pourquoi ?


3. Quel est le domaine qui va le moins bien dans notre pays ?


4. Que proposez-vous pour redressez la situation ?


5. Quel est le domaine qui va le mieux dans notre pays ?


6. Que proposez-vous pour maintenir cet avantage ?


7. Quel est le principal risque qui pèse sur notre pays et pourquoi ?


8. Quel est la principale opportunité qui s’offre à la France et comment la prendre ?


9. Que pensez-vous des médias en général et de la télévision en particulier ? Jouent-ils leur rôle de contre-pouvoir, d’information et d’éducation ?


10. En 2005 les Français ont voté non à 54,68% au référendum du 29 mai 2005 sur le traité constitutionnel européen, et pourtant ni l’UMP, ni le PS, n’ont tenu compte de ce vote. Sommes-nous encore en démocratie selon vous ?

 
Source :Enquête&Débat


4 réactions


  • Qaspard Delanuit Gaspard Delanuit 29 septembre 2011 09:04

    Désolé mais le simple nom du parti est déjà ridicule (Les intellectuels du mouvement auraient pu rajouter Pétanque et Belote à la liste). J’ai essayé d’écouter quelques minutes ce monsieur, mais son propos est insupportable tant il est plein de de banalités niaises. Quoi dire de plus ? Heuuu... rien. 


    • eQzez edzez 29 septembre 2011 09:25

      le ridicule ne tue pas .


      Mais les fous oui (VOTONS BIEN 2012).

    • QaviQeQuarQo davideduardo 29 septembre 2011 20:24
      ahahaha

      Chasse, Pêche, Nature, pétanque, ricard et
       Tradition !

  • Latigeur Latigeur 3 octobre 2011 21:57

    Pas la peine de te fatiguer Nulous, tu ne le seras jamais, président !


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