Fillon : "MAM n’a pas commis de faute morale"
Intervenant lundi 28 février sur RTL, le Premier ministre a assuré que Michèle Alliot-Marie "n’avait pas commis de faute". L’écarter du gouvernement fut "un choix stratégique" a expliqué François Fillon qui voit également avec l’arrivée d’Alain Juppé un nouveau départ pour la diplomatie. Il a également assuré que sa relation avec le président était "confiante".
14 réactions
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Jean-Pierre Llabrés
28 février 2011 13:05
Sarkozy, Fillon, Alliot-Marie : deux poids, deux mesures...
http://www.agoravox.fr/actualites/politique/article/sarkozy-fillon-alliot-marie-deux-89655
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kalki
1er mars 2011 09:42
Salut les imbéciles
alors oui MAM c’est pas un cas, les imbéciles
ils sont tous pourri,
ils ont tous pris des avions
et en haut votre chéris de sarkozy : je crois qu’il a fait beaucoup plus que MAM, beaucoup beaucoup et beaucoup plus
que prendre un avion
non ?
qui est ce qui a des morts sur la conscience
oh pardon vous n’avez pas de conscience ni de moral
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kalki
1er mars 2011 09:45
Je crois qu’il y en a qui ont trop regardé la médiacratie, tf1
ou sinon ils son payé, on peu les appeller les vendus
oh allons : avec deux on peut tout faire meme un crime contre l’humanité, en se rincant la conscience ( caché au fond d’un trou ) pour se dire attend moi je peux survivre les autres ils peuvent crever
ca c’est caréctéristiques des imbéciles, clairement c’est un manque d’intelligence et de capacité cognitive
vous êtes a peu prés dans la jungle, et vous comprenez le feu ca bruleeeeeeuh
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epapel
28 février 2011 17:47
C’est dommage, le petit théâtre de Guignol vient de perdre ses deux meilleurs personnages.
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Aguirre18
28 février 2011 18:28
Le point commun entre MAM et Fillon, c’est qu’ils font tous les deux parti de cette race de politique sans idée, toujours sous la domination de plus puissant qu’eux, 100% soumis 100% corrompus à toute forme de pouvoir, des bons toutous qui prennent des baffes de temps en temps, mais qui s’accrochent à leurs titres et à leurs médailles, les pauvres, ils sont pitoyables....
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poetiste
1er mars 2011 08:52
A la soupe !
Circulez, il n’y a rien à voir, nous dit François Fillon. Il n’y a pas d’affaire Alliot Marie.
L’église a longtemps caché la pédophilie de certains prêtres, bien minoritaires, il est vrai. Elle a réagi, elle a fait amende honorable, elle s’améliore.
Les politiques aux commandes de notre belle France voudraient que leurs dysfonctionnements passent inaperçus voire qu’ils soient banalisés.
Décidément, nous vivons au temps de l’image de marque que l’on croit pouvoir réhabiliter avec quelques proclamations devant les médias.
Quand on n’est pas à la hauteur d’une mission, on a comme ça une propension à se dédouaner d’une incurie avec quelque parole lapidaire.
Et ça marche, tant il est vrai que l’attention générale est plus portée vers les paroles que vers les actes qui eux, sont tenus secrets, ne concernant que des intérêts particuliers.
On demande des comptes aux dirigeants en une Tunisie qui s’indigne de leurs privilèges outrés. En France : circulez, il n’y a rien à voir ! Curieuse conception de la démocratie.
A faire copain coquin avec des dictatures et proposer « notre » démocratie en exemple, voire l’imposer par la force, voilà où ça nous mène : on devient fuyant, on s’esquive, on ment.
Indignons-nous ! Résistons ! Dans la jungle, les prédateurs ont toujours raison mais en politique, on peut demander d’autres valeurs, plus morales, plus respectueuses de l’homme, à gauche comme à droite.
François Fillon dit, grosso modo : laissez-nous faire notre soupe entre nous. Exigeons un droit de regard sur la qualité de cette soupe insipide car tous les Français la consomment et ça ne les arrange pas.
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therasse
1er mars 2011 09:22
On essaie depuis quelques semaines -hier encore au Grand Journal de Canal+- de nous focaliser sur l’avion privé, les vacances en Tunisie "aux frais de la princesse" et des affaires réalisées par le père de la ministre en Tunisie. Et on ajoute : "Tous les dirigeants occidentaux l’ont fait".
Et on oublie volontairement l’essentiel, à savoir sa proposition devant l’ Assemblée nationale de prêter main forte au dictateur contre son peuple qui manifestait :Ca, c’est immoral et impardonnable autant qu’inédit -
extralucide
1er mars 2011 22:32
Bien sur, tous ces merdias essaient d’inculquer aux Français que les malversations faîtes par les politiques ne sont que des broutilles. En revanche, si vous faîtes prendre à 180 sur l’autoroute, vous êtes un assassin qu’il faut punir
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