CGT – La couleur de l’argent
Résumé : L’argent des syndicats reste une question taboue en France. Pour autant, certaines affaires comme celle du comité d’entreprise de Disney, d’Air France, de la SNCF ou encoure de la RATP ont mis au jour le manque de contrôles ou des procédés complexes voire illicites de financement. La Cour des Comptes a notamment signalé des anomalies de facturation des garden party organisées par le CE de la RATP entre 2007 et 2010. La journaliste Lamia Belhacène a enquêté sur les finances de la CGT, le syndicat numéro un dans l’Hexagone.
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3 réactions
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Fidol Castré
18 juin 2015 13:02
Les syndicats institutionnels sont morts mais maintenus sous perfusion d’argent publi par les gouvernements qui ont besoin de bons collabos afin d’éviter le pétage de plombs généralisé des ouvriers en train de se faire laminer par le neo-libéralisme.
Les syndicats font des défilés bien gentils déclarés en préfecture pour réclamer trois centimes d’augmentation ("Du pouvoir d’achat"... pour vivre à crédit dans les banques du système
) et les mêmes conneries depuis trente ans. Ils empêchent l’émancipation des travailleurs, la création de Scops (sauf à deux jours du dépôt de bilan...) et la sainte colère des moutons qui se font tondre et délocaliser.Ils sont objectivement des collabos (et pour les huiles d’en haut, des rentiers) et devraient disparaître, comme les politiciens véreux actuellement aux commandes.
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jeanpiètre
18 juin 2015 18:20
le jour ou les gens auront compris que comme pour le vote, ils se font flouer par le grand patronat sur la part de leur salaire qu’ils mettent en mutualité, ils auront compris pourquoi ils se sont fait baisé par de gaulle et les successeurs
) et les mêmes conneries depuis trente ans. Ils empêchent l’émancipation des travailleurs, la création de Scops (sauf à deux jours du dépôt de bilan...) et la sainte colère des moutons qui se font tondre et délocaliser.