samedi 5 avril - par mat-hac

Au-delà de la bien-pensance : Réflexions sur la modernité et la post-modernité

Michel Maffesoli

0:00:00 Introduction et remerciements
0:01:25 Critique de la bienpensance et du progressisme
0:05:08 La sensibilité théorique et la raison sensible
0:09:30 Enracinement dynamique et tradition
0:12:10 Critique du rationalisme et de l'utilitarisme

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0:18:20 Impermanence et continuité des époques
0:22:02 Pouvoir et puissance : la centralité souterraine
0:26:26 Apologie et disputatio : l'importance du questionnement
0:30:29 Transition vers la postmodernité : Dionysos et l'imaginaire

0:38:51 Conclusion : vers un nouvel humanisme intégral
0:57:40 Q&R - Époque et période : une analyse universelle ou occidentale ?
01:03:13 Q&R - Influence chrétienne et schizophrénie théorique
01:06:43 Q&R - Individu et personne dans l'idéal communautaire
01:10:43 Q&R - Le XVIIIe siècle : raison ou sensibilité ?
01:13:40 Q&R - Imaginal et sacral : des concepts à préciser
01:16:32 Q&R - Comment éviter que le rêve ne devienne cauchemar ?
01:20:18 Q&R - Corps et esprit : kalos kalatos et coincidencia oppositorum
01:23:24 Q&R - Critique du progrès et de la modernité



2 réactions


  • JL 5 avril 15:14

    En UE, la bien-pensance c’est la conformité à la doxa maastricjienne :

    « Si ça va bien c’est grâce à l’Europe ; si ça va mal c’est qu’il n’y a pas assez d’Europe »


    • JL 8 avril 09:17

      @JL
       
      « Si ça va bien c’est grâce à l’Europe ; si ça va mal c’est qu’il n’y a pas assez d’Europe  » Théorème énoncé par Bernard Guetta le cabri


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