jeudi 9 janvier 2020 - par mat-hac

Après les retraites, le privé qui tourne en rond avec BlackRock

Malgré plusieurs semaines de protestations massives, Emmanuel Macron a réaffirmé sa détermination à maintenir la réforme des retraites. Dans un tel contexte, le 1er janvier 2020, un personnage n'est pas passé inaperçu : Jean-François Cirelli, président de Blackrock France, obtient la Légion d'Honneur 2020...

Jean-François Cirelli est aussi un membre du "Comité Action Publique 2022" une commission créée Edouard Philippe en 2017, afin de réformer notre service publique...

Jusqu'où s'étend l'influence de Blackrock sur le gouvernement de la République française et l'Union Européenne ?



6 réactions


  • louis 9 janvier 2020 13:43

    Le but des actionnaires des assurances retraites n’est pas de verser des retraites mais de se mettre un max de fric dans les poches , c’est aux antipodes de notre système de répartition .

    Pour quand l’obsolescence de blackrock est elle programmée ?


    • Julot_Fr 9 janvier 2020 14:23

      @louis

      Je dirais que c est encore plus vicieux. Les milieux financiers controllent le declenchement des crises financieres. En forceant l epargne de francais dans les marches d actions (bulle fabriquees par les banquiers) ils prepare cette epargne a etre volee legalement lors du prochain crash


    • wendigo wendigo 9 janvier 2020 21:55

      @Julot_Fr
      Pourquoi attendre le prochain crack puisqu’il y a les taux d’intérêts négatifs ....


    • Julot_Fr 10 janvier 2020 11:10

      @wendigo

      Vous avez un bon point.. on peut ajouter l inflation, l augmentation des taxes divers et variees (y compris co2). Ceci dit un bon crash et ce qu il reste de la classe moyenne est efface d un coup. Et tant qu il y a du cash en circulation, l interet negatif peut conduire a un retrait massif des epargne stockees en banques ce que les banquiers ne souhaitent pas


    • Sozenz 14 janvier 2020 20:06

      @Julot_Fr
      enfin un qui a tout compris ...


  • Jérôme L'HÔTE Jérôme L’HÔTE 9 janvier 2020 21:50

    "Ne pourra jamais être forcé : notre esprit, ce que nous pensons", dites-vous vers la fin, (je simplifie), et vous nous souhaitez de "savoir ensuite naviguer dans ce monde,...faire avec, presque ? Je sais bien que non.  :


    Vous dénoncez remarquablement bien et j’ai toute reconnaissance pour votre travail. Je souhaite ajouter qu’il faut lutter encore et encore, sous toutes formes que chacun ou chaque groupe estimera bonne, en conscience. Non, ce monde Orwellien ne doit pas s’installer, à aucun prix car vous n’avez pas mentionné le cœur, dans le sens d’humanisme (parmi ce que l’on ne pourrait pas nous dérober), qui mourrait alors aussi.

    Inutile de préciser que cette façon obscène et caricaturale de ne plus se dévouer qu’au DIEU MARCHÉ signe, si on laisse faire, la fin de l’humanité, rien de moins.


Réagir