samedi 22 janvier 2022 - par Paul Dallio

Anne Hidalgo : "Nous ne sommes pas disqualifiés"

À 80 jours du premier tour de l’élection présidentielle, Blast lance un nouveau programme "L’Élysée Sinon Rien", une série d’entretiens avec les candidats et leur premier cercle. C’est Anne Hidalgo qui inaugure ce format.

La candidate peine à percer dans l’opinion. Créditée de 3% des intentions de vote, elle n’est qu’une des 5 candidatures qui se revendiquent de la gauche. Aucune dynamique ne semble dessiner autour d’elle. Arnaud Montebourg, qui était dans une situation analogue, a choisi de se retirer de la compétition. Anne Hidalgo affirme qu’elle ira jusqu’au bout. Mais l’utilité de sa candidature fait question, y compris chez ses amis.

Le Parti socialiste joue son avenir dans son élection. Il risque de voir ses frais de campagne n’être que faiblement remboursés. Et les élections législatives pourraient se révéler cruelles. Comment la candidate compte-t-elle redresser la situation ? C’est l’une des questions que Serge Faubert est allé lui poser dans son quartier général de campagne, à Paris.



10 réactions


  • joelim joelim 22 janvier 2022 23:15

    Inouï ce PS ancien parti d’Airain qui s’éteint sur cette présidentielle en reniant toutes ses valeurs comme en niant la légitimité de certain candidat pourtant républicain. Le PS ultralibéral et liberticide (si c’est devenu possible, avec eux) restera comme une tâche dans l’Histoire de France.


  • Parrhesia 22 janvier 2022 23:16

    Sur le constat de leur performances depuis 1981, on ne peut pas dire non plus qu’ils soient très qualifiés...


  • joelim joelim 22 janvier 2022 23:19

    Il n’y en a pas même un seul de qualifié, alors dix.


  • Gaspard Delanuit Gaspard Delanuit 22 janvier 2022 23:45

    La présidentielle a donné l’occasion aux Parisiens de découvrir avec effarement la misère intellectuelle et morale de cette pauvre femme. 


  • Conférençovore Conférençovore 23 janvier 2022 08:40

    Anne Hidalgo est comme Valls, Habib, Obono et tout une partie des élus "français" : c’est une multi-nationale donc au moins une demi-française. Personne ne peut dire qu’elle serait son camp en cas de conflit avec l’Espagne. Ras-le-bol de ces élus afrançais. Ils ne représentent en rien les Français.

    Je ne parle même pas de son bilan désastreux à Paris, capitale-poubelle de la France. Il suffit d’ouvrir les yeux pour constater le massacre.


  • attilax2 attilax2 24 janvier 2022 02:27

    Pour être disqualifiée, faut déjà être qualifiée.


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