Analyse du programme du FN par le RPF
Samedi 19 novembre, le FN a présenté son nouveau programme, qui a été étudié notamment par le RPF (Rassemblement pour la France) de Nicolas Stoquer (Président) et Tomas Vanicek (Conseiller du Président pour les questions économiques et énergétiques). Alors que le RPF avait laissé la porte ouverte au FN avant l’été 2011, afin de pouvoir juger sur pièces, il claque la porte au nez de la présidente du FN désormais. Pour citer Nicolas Stoquer : “Nous ne voulions pas rejeter le FN a priori, mais nous la rejetons a posteriori.” Voici pourquoi, en exclusivité pour Enquête & Débat.
4 réactions
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davideduardo
23 novembre 2011 07:16
l autarcie est necessaire pour les pays ayant, ou voulant garder des politiques sociales forte qui de toute maniere seront toujours moins compétitifs que les pays esclavagistes ou néolibéraux.
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davideduardo
23 novembre 2011 07:21
comme le dit nikonoff, il faut sortir des organisation internationnales, de toute maniere irréformable de l intérieur , pour en recréer d autre que rejoindront plus tard d autres pays.
La france et sa troisieme voie historique serait le candidat idéal pour lancer un changement au niveau internationnal.le vrai socialisme , ou le souverainisme passe par l autarcie mais ce n est pas une fin en soi , c est pour se proteger du liberalisme toute en espérant etre ralier plus tard par d autre pays recherchant le meme typoe de politique.
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davideduardo
23 novembre 2011 07:35
franchement j ai pas pu ragarder plus de 30 minutes :
encore un enieme partie europeiste, mondialiste, libéral,-ne voyant que par le clivage goche droite ("une alliance entre la droite nationale, la droite morale et la droite libérale"),-nous ressortant les meme conneries sur l UE ("nous profitons de la PAC" alors que nous cotisons pour l europe beaucoup plus que ce que nous recevons)-dramatisant le protectionnisme comme étant l arret total d achat de tout produit venant de l étranger.-voyant la dette comme un abus des états alors que cette dette que les états n ont en réalité pas plus dépenser en proportion du PIB qu avant les années 70 et qu elle touche le monde entier (du en réalité a l arret du financement par les banques centrales remplacer par les marché financier avec taux d intérets)etc etc... -