Sites d’information : la fin du gratuit ?
Alors que la presse écrite traverse une crise sans précédent, la presse en ligne semble avoir le vent en poupe. Faut-il rendre les sites d’information payants ? C’est la question débattue par Christophe Robeet et ses invités : Jean-Marc Vittori, éditorialiste aux Echos, et le blogueur Tristan Mendès-France.
Source : France 24
12 réactions
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DIVA
15 août 2009 21:47
La presse en ligne est déjà payante ; l’accès à Internet n’est pas gratuit !
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bobov
16 août 2009 00:39
Si j’ai bien compris, ils veulent des sous parce que le journalisme d’investigation coûte cher. C’est difficile de ne pas être d’accord, mais quel journal fait encore du journalisme d’investigation ? Les "people"...
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Atlantis
16 août 2009 05:54
Que le "bloger" ne vole même pas dans les plumes de l’éditorialiste des échos quand il sort son énorme troll dès le début d’émission avec la privatisation du service des eaux c’est emblématique de ce (et ceux) qu’il sélectionnent pour passer devant la caméra. La privatisation des services des eaux est anti droit de l’homme, anti constitutionnelle et j’en passe. Le problème n’est même pas "tombé dans les oubliettes", il a été dépoussiéré tout récemment avec la gestion de l’eau de pluie, dont les décrets tombés la veille de noel 08, eux aussi tout aussi scandaleux.
Même pas envie de regarder plus loin cette vidéo, le contenu ne peut qu’être au niveau de satan barbara.
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plume4
16 août 2009 10:04
vous ne voyez pas ou tous ça va ? simple, si la presse Internet devient payante les patrons de ces sites vont passé leur temps à chercher des fonds pub et autre personne ayant du fric (les pots à sarko en faisant clair ) et lorsqu’il les auront trouvé (pas très loin de la poubelle) ils perdront dans le même temps leur indépendance de journalistes (comme dans la presse papier et à la TV (vu à la TV) ) résultat l’information sur internet serra enfin contrôlée par les amis du capital et des banques (BRAVO , SUPER , GÉNIAL) le monde des pourri pourra enfin s’épanouir dans l’ombre des médias
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dup
16 août 2009 12:43
payer pour lire les tracts de mensonge hahahahhahah !! ils rêvent . Jusqu’à maintenent ceux qui nous ont informés étaient des bénévols. Le 11 sept n’a pas été révélé par Murdoc. D’accord pour la presse payante si elle informe ,hors c’est pas le cas
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joelim
16 août 2009 15:53
"Faire payer est le seul moyen de sauver l’industrie" ?
Désolé l’information n’est pas une industrie ou alors c’est comme la mal-bouffe. Et l’utilisateur n’est pas un consommateur : on ne consomme pas l’information.
L’industrie de l’information mouura, pour autant qu’on veille à ne pas la subventionner, ce qui est un défi en soi, vu les bouffons politiques que l’on a.
L’artisanat de l’information, de bien meilleure qualité, pourra subsister à l’aide de souscriptions et aussi je pense de mécénat (même si à ce sujet les dérives sont évidemment possibles).
Enfin, vraiment mort de rire d’entendre parler de "journalisme de qualité" en se basant sur Murdoch le roi des torchons tabloïds... S’il croit que quelqu’un payera pour aller sur son site de communication industrielle, c’est qu’il est vraiment devenu gaga...
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jacques
16 août 2009 17:37
La presse payante marche quand elle a une info valable voir le canard enchainé ,que ce journal soit un peu seul est le problème des journalistes qui veulent toujours être du côté du manche et jamais de la cognée.
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Atlantis
17 août 2009 00:14
le canard a été pointé plus d’une fois du doigt sur vox : certaines de ses soit disantes exclu étaient tirées du web, sans aucune citation de l’origine ce qui déontologiquement inamissible. Et comme le dit bigard : "ils ont pas de couilles". Les VRAIS sujets ils les traiteront jamais.
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