Saignant : Guillon répond très violemment à Aphatie
Ce matin, sur France Inter, Stéphane Guillon s’est livré à une attaque très violente contre le chroniqueur Jean-Michel Aphatie (RTL)qui lui-même l’a attaqué dans sa chronique du jour qui elle-même faisait suite au papier de Guillon, la semaine dernière, sur DSK
15 réactions
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Guillon t’ es nul .
Se foutre de l’ haleine soi-disant puante d’ un autre ne rend pas la tienne respirable .
T’ es là pour faire rire , alors que là tu fais étales ta connerie .
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Bof, Guillon souligne simplement qu’Aplatie est un lèche-cul de première, et l’allusion à son haleine est à prendre au 2ème degré, de plus Guillon "balance à tout vas" et de plus il le fait avec beaucoup d’humour (acide sans doute)et tant pis s’il égratigne l’une quelconque de vos idoles. Il est dans la lignée des "chansonniers" des années 60, qui n’étaient pas tendres non plus avec les politiques et les plumitifs, c’était très décapant, et très salutaire, nous manquons cruellement de ce genre d’artistes en ce moment, car il y a matière, par les temps qui courent, a animer 50 "Greniers de Montmartre"
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gregory4 25 février 2009 15:19
Ouai enfin en gros Apathie l’attaque sur le fond, et il y avait matière à répondre, à faire un pamphlet brillant sur l’humour caustique, à son utilité même face à des politiques qui ont peut être tendance à se croire au dessus des lois qui valent pour le reste d’entre nous (le cas DSK est quand même gratiné de ce point de vue). Au lieu de ça il attaque apathie sur son haleine, sa jalousie supposée, bref ça personne. Echec complet,zero panache, idée, utilité. J’aurais vraiment aimé avoir en Guillon un humortiste de choc dont on se repasserait les chroniques des années plus tard avec délectation, mais l’une après l’autre après l’autres force est de l’admettre : c’est un nain, une anecdote au phrasé sympathique et aux textes traduisant un esprit superficiel et des colères simulées. J’ai un autre idée de l’humour.
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Cette chronique est tout simplement minable.Sans appel. Elle est basée sur un humour à l’image de nos valeurs actuelles:cynisme,violence,hypocrisie,cour de récréation. Il faut avoir le courage de reconnaitre cet état de fait,et il temps désormais de rêver à un humour fédérateur,conciliateur,unificateur et plein d’humanité. Guillon...change ou va-t-en . Sans appel.
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Pareil que l’ autre naze à canal du prénom d’ Ariel , mais quel idiot ce type qui se croit rigolo ... un has Bean ...
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D’ ailleurs il y a ici autant de cons qu’ à canal ...
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et bien moi je renvoie guillon et apathie dos à dos dans l’aplaventrisme et la nullité. qu’ils crevent tous.
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On ne peut plus rire de tout avec tout le monde, merci de la fermer
Les lois permettent-elles de légiférer sur la fonction cathartique de l’humour ? La morale, les mœurs et l’argent sont-ils devenus le triumvirat de base du rire moderne ? Certains encéphales dépourvus de zygomatiques affirment que oui, car pour eux ce qui est drôle est la matérialisation de la bêtise crasse, d’autres prouvent cette affirmation dans votre salle de spectacle la plus proche.
Nous pourrions pleurer tous ensemble avec plus ou moins d’opportunisme la disparition - le temps d’un éventuel biopic pour César - de la mémoire de l’humour à la Desproges, à l’heure où il faut avoir sa carte dans un parti ou en créer un. Mais il faudrait encore plus larmoyer sur les restes de Coluche qui a malencontreusement engendré des professionnels de l’engagement, plus proches du politicien que du marionnettiste du quotidien.
Aux jeux des tests de paternité et des portraits robots, on justifie toute notre époque uniquement par le passé proche et moins par l’histoire générale.
À croire que la peoplelisation est une visée subjectivement déculpabilisante, qui pourrait avoir sa chaire d’Histoire dans le futur.
la suite ici
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Avec un tel humour, il va bientôt cueillir les pâquerettes avec les dents... ça descend, ça descend !
Et pendant ce temps là ?
Ça descend aussi ! -
gregory4 25 février 2009 14:59
Bon, je le trouve quand même foncièrement arrogant et assez paresseux ce Guillon. Qu’est ce que c’est que cette posture, "en fait t’es jaloux", on dirait du Arthur...
Je me rends compte que je l’écoute plus pour le spectacle de son asticotage (façon corrida, face à l’invité, ça faut reconnaitre qu’il assume) que pour la qualité de ses textes, d’un vide en général confondant comparé à du Desproges ou mêms du Aléveque, pour prendre un de ses contemporains sur le même créneau.
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