Rebekah Brooks : la tornade rousse
Rebekah Brooks, la reine des tabloïds contrainte de démissionner de son poste de numéro 2 de la filiale du groupe Murdoch qui chapeaute les journaux britanniques, a été emportée par le scandale des écoutes téléphoniques malgré son statut de protégée du magnat de la presse. (AFP - 15 juillet 2011)
"Rebekah Brooks est donc l’une des pièces maîtresses d’une forme de terrorisme politique dénoncée par Shirley Williams, qui n’est pas une gauchiste anglaise (elle fut co-fondatrice du parti social-démocrate, en 1981, en réaction à la politique jugée furieusement progressiste des travaillistes). Shirley Williams juge intolérable que tout premier ministre britannique, pour espérer parvenir au pouvoir puis gouverner, ait à passer sous les fourches caudines de l’empire Murdoch :"
1 réactions
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Lisa SIon
21 juillet 2011 16:15
Deux millions de victimes, et même cinq pour le dernier numéro de ce torchon grotesque, victimes consentantes coupable de financer de notoires receleurs, repère de voyeurs illégaux tel les gros plans obsessionnels des films de viande. Ne sont-ce pas ces journaux qui s’affichaient avec une poupée nue en couverture de primière page tous les jours ? Il n’y a plus que le crime qui paye. Pour qu’un seul gagne un million de rondelles, il en faut un million à perdre la leur ainsi que leur dignité humaine.