PPDA soutient Ségolène Royal face à Alain Duhamel
Lundi 6 octobre, dans On refait le monde sur RTL, PPDA prend la défense de Ségolène Royal face à Alain Duhamel. L’ex-star du 20 heures considère que son show au Zénith apporte quelque chose de nouveau et d’intéressant dans la vie politique. Il se dit même "extrêmement séduit". Il souligne aussi les progrès de la candidate socialiste depuis la campagne présidentielle 2007 durant laquelle, dit-il, elle était "nulle".
7 réactions
-
Pauvre Patrick que ne s’est-il contenté de hurler avec les loups ? Ayant voté pour Ségolène,bien que n’aimant pas son style et sa manière de s’exprimer,j’apprecie qu’elle essaye de sortir de son style Bécassine pour prendre un "new look" qui d’ailleurs lui sied à ravir ;Ce qui m’a plu dans son discours c’est la démocratie participative:enfin une occasion pour le français moyen,râleur de son état,d’aider ses représentants à l’aider.Elle était trop en avance sur son temps ,il est bien mieux de continuer à dire :"mais qu’est ce qu’ils font tous ces c...". Quant à Duhamel mieux vaut ne pas en parler mais il a une raie impeccable !!!
-
Durant un bon mois, Victoria enquêta à travers le monde sur "Wilde Industrie". Pendant ce temps, je m’occupais de la sortie du second livre de la trilogie de la Lune. Comme de continuer à racheter des actions de la banque suisse. Mais aussi de constituer un "Holding" français à la Générale d’Israël.
Vers la fin du mois de février, je reçus un courrier d’Aaron Cohen qui me décrivit maintenant l’ensemble des entreprises qui formaient la Générale d’Israël. A cette lettre, où ils étaient inscrits en annexe la liste des trois cent trente entreprises de la Holding, avec un chiffre d’affaires dépassant deux milliards cent millions de dollars par an, la Générale de France ne représentait qu’un dixième de sa sœur d’Israël.
La suite sur http://www.deslettresetdesmots.com/
-
-
PPDA est un bourgeois qui a besoin d’être séduit comme les rois de France jadis.....avec une belle pièce de théâtre par exemple.
Et justement le show de ségo ressemble un peu à une pièce de théatre .
-
bon l’un ne prend pas de parti, et l’autre prend ppda pour un idiot : au premier je dirai que ppda n’est pas a plaindre, et puis qu’est ce que vous avez à dénigré une personne qui ne fait qu’exprimer son opinion et se défendre face à la sarkozification de tous les médias.
Les sarkozistes d’RTL ( qui souffrent du syndrome Fogiel, à savoir être réduit à l’état de pensée d’une hyène cynique et stupide)s’accordent même sur le fait que Patrick Poivre ne serait pas stupide. C’est le moins que l’on puisse dire d’une personne bachelière à 15ans et pouvant assumer la paternité de sa fille Dorothée à ce même age, écrivain à succès à partir de 16 ans, ayant occupé par la suite de nombreux postes de plus en plus honorifiques. De plus ppda semble plus réfléchi et plus humain que le président S pour une très grande majorité. Eh oui des "bourgeois" sympas ça peut parfaitement exister ( et c’est un pauvre qui écrit ces lignes ).
Quand au "Show de Ségo" qui vous horripile tant, je dirais que c’est pas vos oignons ce qu’elle choisit ou pas comme forme de meeting. Est ce qu’on vient vous critiquer lorsque vous organisez un rassemblement d’amis où que ce soit ? Vous pouvez meme participer à des bacchanalles si ça vous chante ! Et puis qui ne connait pas le cirque Sarkozo ??
Un dernier mot sinon je risque de faire des ulcères tellement le contexte m’énerve ainsi que la bêtise de certains commentaires futurs auxquels je m’attends...
Mieux vaut avoir une présidente que pas de président.
-
Yves Thréard , Et, soudain, la Jeanne d’Arc toute de blanc vêtue de la campagne présidentielle apparut en tenue de gourou sur la scène. Au vestiaire, la mise sage d’une femme élevée à la dure dans les meilleures institutions. La tendance est aujourd’hui à la tunique indienne sur des jeans, les cheveux ondulés au vent. Samedi, une nouvelle Ségolène, un tantinet mystique, est arrivée au Zénith de Paris.
Pourtant, si les apparences ont changé, l’ex-star des sondages cultive toujours le même sillon : la différence. Candidate à l’Élysée, elle se distinguait des autres socialistes par la tonalité de son discours, par certaines de ses options, par sa façon d’être. Cela lui a valu d’être l’élue parmi ses pairs, cela lui a également valu beaucoup de sarcasmes et de défiance.
Mais, de son échec, elle a fait une victoire personnelle. Alors elle continue. Tenace. Telle la Pucelle d’Orléans, elle entendait des voix : « Je sens qu’il y a de plus en plus d’hommes et de femmes qui se tournent vers moi », déclarait-elle en janvier dernier. Désormais, elle veut « un autre monde ». Telle une pythie, elle sait que l’avenir lui donnera raison : « Je suis là aujourd’hui, je serai là demain », prévient-elle. Et rien ne la fera reculer.
C’est une évidence, la prochaine élection présidentielle de 2012 est l’objectif de Ségolène Royal. La bataille pour la direction du PS, qui doit se jouer à Reims en novembre, elle fait mine de s’en détacher. La gagner serait mieux. Mais les sondages étant mauvais, la tactique commande d’anticiper, et donc de minorer l’événement. Son destin, se persuade-t-elle, est ailleurs. Faute de pouvoir incarner la Jeanne d’Arc qui sauve son parti, elle est le gourou qui montre le chemin d’une « nouvelle France » à tous ceux qui veulent la suivre dans la « fraternité ». Ségolène Royal est la madone défroquée du PS.
Si la posture ne manque pas de panache, le calcul est évidemment risqué. Il est encore audacieux de penser que l’avenir de la gauche ne passe pas par le Parti socialiste.
Et puis quelle est la gauche que souhaite réinventer Ségolène Royal ? Au-delà des incantations, des prémonitions, des critiques contre les « traîtres » de son camp ou les « porte-flingues » de l’Élysée, la petite musique « royaliste » n’a guère pris en volume. Elle peut faire un tube à la mode, pas une symphonie qui s’inscrit dans la durée. Jouer les victimes ne marche qu’un temps. On cherche en vain la nouvelle offre politique. Samedi au Zénith, Ségolène Royal a embouché la trompette du gauchisme le plus classique, sinon le plus ringard. Et on se dit que, dans la zone d’intenses turbulences économiques que nous traversons, pareil esquif aurait bien du mal à rester en surface. Ce n’est pas d’une tunique indienne dont la France aurait besoin, mais d’une bouée de sauvetage. Sans doute est-ce la raison pour laquelle les Français, selon le sondage d’hier pour Le Journal du dimanche, préféreraient voir Dominique Strauss-Kahn représenter le PS en 2012. Loin devant Ségolène Royal, pour qui la route s’annonce longue, même à l’écart du PS.
-
PPDA a toujours eu la braguette accueillante. A quand les photos de notre "chauve" qui fut....à TF1 avec la candidate qui fut....dans les colonnes de PARIS MATCH . Ségolène doit être le prochain gibier du tableau de chasse de Mr le roi de la braguette française, et qui se répand romantiquement en larmes de bon père de famille !!!! HYPOCRITEMENT VOTRE , Mme NUNUCHE et Mr BELLATRE ( à la bouche en cul de poule.