jeudi 24 novembre 2011 - par glaza

L’Improbable Débat - Laurent Beaufrin

Le 9 Septembre 2011, Laurent Joffrin publie dans le Nouvel Observateur, un article d’une violence rare dans lequel il accuse ceux qui remettent en cause la version officielle des attentats du 11 septembre 2001 d’être des "ennemis de la démocratie".

 
Cette sortie irresponsable vient s’ajouter à la longue liste des attaques dont les "Thruthers" sont l’objet depuis des années de la part des "journalistes".
 
Les professionnels de l’information comme Laurent Joffrin ne se se contentent pas de mépriser les faits, d’insulter leurs contradicteurs, de pratiquer la diffamation et l’amalgame, ils prétendent, aussi, en propagandistes qui ne disent pas leur nom, interdire tout débat public sur le sujet
 
Nous avons donc imaginé un débat dans lequel un contestataire de la version officielle pourrait apporter la contradiction aux mensonges, erreurs, et insultes contenues dans l’article de Mr Joffrin
 
Les tenants de la version officielle refusant, tout débat en dehors du cadre d’émissions de complaisance, nous avons été obligés de tenir nous-mêmes le rôle du défenseur de Laurent Joffrin, que nous avons paronymé en Laurent Beaufrin.
 
François Belliot
Gérard Lazare


4 réactions


  • Qaspard Delanuit Gaspard Delanuit 24 novembre 2011 16:23

    Magnifique, hilarant, et tellement vrai !


    Bravo pour cet exercice d’éristique. La mauvaise foi en forme d’acrobatie artistique !

    Ce Laurent Beaufrin me semble avoir quelques airs de parenté intellectuelle avec un certain Donald Forestier... :)

  • Wintheyes 24 novembre 2011 19:37

    C’est tellement facile comme exercice... Je vois pas l’intérêt de ce faux-débat, lorsque tout le monde est du même avis on est sûr de gagner en effet. Imaginez la réaction que vous auriez eu si des défenseurs de la thèse officielle avait fait ce même exercice (j’imagine qu’ils ont déjà fait des "débats" où tout le monde est d’accord mais je ne pense pas avec une mise en scène comme celle-ci).

    Personnellement je trouve qu’il y a des éléments troublants dans la version officielle, qu’il y a suffisamment de "coïncidences" pour se poser légitimement des questions, que le gouvernement américain s’est largement servi du 9/11 pour justifier leurs actions et les mesures qu’ils ont prises. Ceci dit j’ai l’impression que ceux qui réfutent la thèse officielle manquent eux aussi d’objectivité. Il y a des arguments qui sont justes absurdes (le coup du "pull it" par exemple, ou l’argument selon lequel le WTC7 ne pouvait pas s’écrouler à cause d’un incendie parce que ce n’est jamais arrivé... le premier homme à mourir par le feu ne pouvait pas mourir parce que personne n’était mort de cette manière avant) ou des méthodes utilisées douteuses (se baser sur quelques vidéos amateurs pour en déduire que les points lumineux qui apparaissent sont les déflagrations de charges explosives) qui sont utilisés uniquement pour rallier le plus de personnes possibles à la cause.

    Alors oui il y a des arguments convaincants, mais il y en aussi de l’autre côté (http://www.bastison.net/). Je n’ai rien contre les recherches d’informations sur le 9/11, je pense que ça doit être fait, mais ridiculiser les adversaires comme le fait cette vidéo c’est simplement se ramener à leur niveau.


    • glaza 24 novembre 2011 21:42

      1 "C’est tellement facile comme exercice", ce qui est facile Wintheyes, c’est de pouvoir bénéficier de la tribune d’un Media de masse, zinguer à tour de rôle toute contestation de la version officielle, insulter et trainer dans la boue toute figure qui oserait se montrer, tout en refusant la moindre contradiction. Dans ce cas là, que peut faire un contestataire ? il va essayer de faire avec les moyens du bord. Trouver un angle "novateur" afin de bousculer l’ordre établi.
      2 Le champ du débat s’appuyait uniquement sur le seul contenu de l’article de Mr Joffrin. Ce que nous avons essayé de faire fût de rendre visible certains des positionnements de Mr Joffrin dans cet article et d’éprouver les développements potentiels.
      3 Nous avons laissé une grande place à l’improvisation (Laurent Beauffrin ne savait pas le contenu de mes interventions.)


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