vendredi 14 juin 2013 - par Cercle des Volontaires

Censure du film de Béatrice Pignède : réponses aux propagandistes sionistes

C’était trop beau pour être vrai. Grâce aux automatismes des relais via le site Allo Ciné, la bande annonce du dernier film de Béatrice Pïgnède a été diffusée sur de nombreux sites d’informations, comme celui du site de Libération, détenu (entre autre) par Edouard de Rotschild… L’ironie était forte. Rudy Reichstadt, animateur du site Conspiracy Watch, s’est empressé d’écrire un article s’indignant que ce film soi-disant antisémite soit relayé sur de grands sites de presse. Cet article a inspiréJonathan Hayoun (Président des Etudiant Juifs de France, qui travaille main dans la main avec le CRIF et les organisations pseudo-progressistes comme La Paix Maintenant, les Eveillés, Jcall…) qui a appelé dans un communiqué les sites à retirer cette bande annonce…

L’UEJF a alerté plusieurs plateformes dont Allociné, qui ont retiré le film de leurs sites, et demande aux autres sites d’en faire de autant.

Pour Jonathan Hayoun, Président de l’UEJF :

« Comment en France, dans le contexte de recrudescence des actes antisémites, autant de médias peuvent ils relayer sans y prêter garde ces théses complotistes et antisémites ? Comment ont ils pu ne pas se rendre compte qu’ils véhiculaient une propagande antisémite ? La lutte contre le racisme et l’antisémitisme, doit plus que jamais être un combat de tous les instants et l’affaire de tous »

 

Mais qui sont les racistes dans l’histoire ? Certainement pas ceux qui combattent l’amalgame entre foi religieuse et idéologie politique ! Jonathan Hayoun et Dominique Sopo croient dans les mythes fondateurs du sionisme :
- les juifs formeraient un peuple, voir un peuple-race
- l’émancipation de ce peuple ne peut se faire que par l’existence d’un Etat juif.

 

En effet, Dominique Sopo définit le sionisme comme étant « le droit des Juifs [notez la majuscule] à disposer d’un Etat  ». Les français juifs ne disposent-ils pas déjà d’un Etat ? Ne font-ils pas partie intégrante de la République, et ne sont-ils pas les égaux de tous les citoyens ?

 

Quelle est donc cette idée selon laquelle des individus, n’ayant pour 99% d’entre eux aucun ancêtre ayant foulé la « Terre promise » (n’ayant pas eu « d’exil » suite à la conquête de la judée – le judaïsme s’est d’abord répandu via le prosélytisme et non la mobilité des populations – voir le livre de Shlomo Sand), mais « parce que juifs », pourraient bénéficier d’un droit supérieur sur une terre occupée par d’autres citoyens depuis des générations ? N’y a-t-il pas ici une preuve outrageante de racisme ?

 

Rudy Reichstadt, Jonathan Hayoun, Dominique Sopo sont donc manifestement des amateurs qui connaissent mal le sujet dont ils parlent, c’est même à se demander s’ils ont visionné le documentaire… Ils prétendent combattre les conspirationnistes, mais ce sont eux qui inventent des financements par des « mollahs » et autres thèses fumeuses sur une similitude avec les Protocoles des Sages de Sion… On se croirait dans Goydorack !

 

Mais non, c’est la réalité… Restez informés !!

 



3 réactions


  • cassia cassia 14 juin 2013 09:42

    Bravo à Béatrice Pignède....
    Ca monte, ça monte....Il y a enfin une prise de conscience générale sur le rôle du sionisme dans l’état de dégradation avancée et le chaos mondial organisé...
    Remercions au passage le Lobby de valider la véracité du contenu du film de Béatrice Pignède en s’en prenant violemment à elle :
    intimidation, censure, violence, mensonges... sont les domaines d’expression du lobby !


    Je vais acheter le DVD sur KontreCulture et le faire passer à toute ma famille et mes amis... !

  • gregoslurbain gregoslurbain 14 juin 2013 09:46

     Combien on parie que les fascistes de la LDJ ne seront pas concernés par la dissolution des groupes d’extrême-droite ne respectant pas le cadre républicain décidée par le pauvre et sombre Ayrault ?


  • Triboulet 14 juin 2013 14:02

     « le droit des Juifs [notez la majuscule] à disposer d’un Etat ».

     Ne soyez pas ridicule ; n’étalez pas  votre inculture

    Etes-vous aussi de ceux qui écrivent "les français" ?

    Quand on parle d’un Juif au sens disons « « ethnique » (même s’il se trompe en pensant que ses ancêtres génétiques étaient sujettes du petit roitelet David ET hébreuses : cf. Shlomo Sand !), il est conventionnel et académique de mettre une majuscule au mot utilisé comme nom. A la différence du mot utilisé comme nom pour désigner un pratiquant d’un des judaïsmes avec sa Bible initialement fruit d’une compilation très imaginative et « politique » par des lévites de Judée à la fin du VII° siècle avant notre ère sous le roi Josias ; à moins que ce ne soit du temps de Esdras et Néhémie au V° siècle. Certains experts disent même encore plus tard vers le III° siècle seulement par les mythiques savants juifs d’Alexandrie avec la Septante à l’occasion de la constitution de la célèbre bibliothèque sur ordre du pharaon Ptolémée Ier. A moins qu’il faille attendre le Ier siècle avant notre ère (mal datée) le Juif héllénisé d’Alexandrie Démétrios sous Ptolémée IV.

    . Dans ce cas - religion ! - « juif » ne prend pas de majuscule.

    Cette distinction (majuscule ou non) qui n’existe pas pour le mot « juif » utilisé comme adjectif ne peut qu’aider à mieux (se) comprendre et éviter des malentendus. Et c’est bien pourquoi lorsqu’il s’agit de l’adjectif et que ce n’est pas évident il est bon de préciser si on parle du « peuple » ou d’une version 2013 de la religion initiale dont la qualité monothéiste est bien plsu récente que beaucoup de Juifs et autres le pensent .

    Non, çà n’est pas du tout un détail

    En intégrant le cas des Khazars, on peut éventuellement contester que les Juifs soient un vrai peuple ; mais, néanmoins, mettre cette majuscule conventionnelle permet au moins de distinguer entre le Juif d’ascendance plus ou moins trimillénaire telle d’avec le juif pratiquant qui peut être à la limite un goy converti de fraîche date.

    Cela a été bien compris par le Luxembourgo-Usaméricain Arno Mayer qui se qualifie de «  Juif non juif » et dont on ne peut que recommander la lecture ou au moins le survol de la « brique » (645 pages) intitulée « De leurs socs ils ont forgé des glaives – Histoire critique d’"Israël" » ; du moins si on veut mieux comprendre le drame des patriotes palestiniens.


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