.
.
Ça pue encore une fois la mise en scène. Les radars non pas l’air de fonctionner en Géorgie puisque nous pouvons voir que l’alerte est donnée par le président géorgien qui voit l’hélicoptère dans le ciel et qui est filmé le regardant avec un air inquiet et d’un seul coup les gardes interviennent pour le mettre à l’abri en se servant de leur corps comme pour le protéger. Ce réflexe est ridicule quand on connaît la puissance des roquettes antipersonnelles. Voulez-vous un exemple ? En voici un ici et là. Tous morts. La défense de la garde rapprochée du président géorgien est inappropriée. Il fallait soustraire le président et Kouchner du champ de vision de l’hélicoptère en le faisant entrer dans l’une des maisons et en s’éloignant le plus vite possible de l’entrée. J’en conclue qu’ils savaient que cet hélicoptère n’était pas un ennemi parce qu’autrement, il y aurait eu des funérailles nationales pour enterrer notre ministre comédien Kouchner mort au combat pour n’avoir pas su appliquer cette maxime F.O.M.E.C. Ceux qui ont fait leur service militaire dans les régiments de combats, savent peut-être que cette expression ( fomec ) contient tout ce qu’un soldat doit savoir pour survivre au combat. Maxim, Cambronne, Bulgroz décodez-moi donc cette expression « fomec » et avec jugez donc la valeur militaire de la garde rapprochée du président géorgien.
En plus, ils foutent le camp en voiture blindée, qu’ils disent. Quelle soit blindée ou pas, elle ne résistera pas une roquette armée d’une charge creuse. Et la voiture ne pourra jamais se soustraire au regard de l’hélicoptère. Cette fuite est donc une mise en scène sinon les soldats géorgiens ne sont que des incapables.
La seule défense acceptable ici, abattre l’hélicoptère mais.... vu que ... qu’il serait un des nôtres donc... on ne tire pas.
Mise en scène !!!! C’est la troisième fois qu’il nous fait le coup Kouchner de falsifier la réalité par ses témoignages.
1) Le sac de riz.
2) Les photos de prisonniers maigres derrières des barbelés accusant les Serbes d’avoir construits des camps de concentration.
3) Et pour finir Ici pour nous dire que le président géorgien est en danger. 
Si vous cherchez une ordure en France, ce n’est pas chez moi que vous la trouverez 