lundi 31 août 2020 - par mat-hac

Les ressources gazières, catalyseur de l’escalade gréco-turque

Les relations sont toujours houleuses en Méditerranée orientale entre Ankara et Athènes. La Turquie et la Grèce continuent de se disputer une zone maritime riche en hydrocarbures. Les dernières manœuvres militaires turques en sont une nouvelle illustration, ainsi que la récente annonce d'un accord entre la Grèce et l'Egypte sur le partage des zones d'exploitation des hydrocarbures. De son côté, l'Europe menace de sanctionner la Turquie en l'absence de signes d'apaisement.



2 réactions


  • sls0 sls0 31 août 2020 17:49

    La ZEE ou zone économique exclusive.

    200 nautiques, là on comprend.

    Quand c’est moins de 200 nautiques c’est au prorata. Là ça devient difficile surtout avec les confettis d’iles grecques. Ce problème a dû être résolu depuis le temps qu’on parle de ZEE, enfin je suppose.

    Avec le gaz on tombe dans la 3D, ce n’est plus une surface mais un volume biscornu.

    Que les turcs fassent leurs mesures, que les grecs fassent leurs mesures, on compare et on se met d’accord.

    S’il y a un désaccord d’autres feront des mesures ce qui mettra tout le monde d’accord.

    Jusqu’à là je ne vois pas l’utilité de bateaux de guerre.

    La seule utilité des bateaux de guerre pour l’instant c’est une histoire d’égo. Il y a des traités, il y a une règle à suivre, on les respecte.

    Dubaï tape dans la réserve iranienne avec son accord pourtant c’est pas trop le grand amour entre les deux.


  • Toyet 3 septembre 2020 11:18

    N’oublions pas que les réserves de la méditerranée permettraient de rendre autonome en matière énergétique l’europe , mais ce n’est pas dans le programme des mondialistes.


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