mercredi 13 août 2008 - par
Les mots (globine) de Medvedev : Sarko ne bronche pas
Lors de la conférence de presse commune de Nicolas Sarkozy et Dimitri Medvedev le 12 août 2008, le président de la Fédération de Russie s’est permis des mots très durs à l’encontre des forces armées géorgiennes, très loin du langage diplomatique.
Il a qualifié ces gens de "déréglés", de "dégénérés", pour finalement lancer : "lorsqu’ils sentent le goût du sang, il est impossible de les arrêter, il faut avoir recours à des méthodes brutales pour le faire".
Sorte de démonisation de l’adversaire, et de déshumanisation ; de bestialisation. Nicolas Sarkozy n’y a pas réagi.
A voir aussi sur le site de l’Elysée.
Une vidéo de Politistution