mardi 14 juin 2016 - par mat-hac

Issad Rebrab : "Ma seule ambition, le développement économique de l’Algérie"

Issad Rebrab, président de Cevital, premier groupe privé en Algérie, est un homme qui dérange. À la tête de la principale fortune privée du pays, il est en conflit ouvert avec les autorités algériennes. Mais l'homme d'affaire affirme que ses ambitions sont uniquement économiques, pas politiques.
Issad Rebrab est en conflit avec les autorités algériennes, et encore plus depuis qu’il a racheté, en avril, le groupe de presse Al-Khabar, alors qu’il est déjà propriétaire du journal Liberté. 

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Sur France 24, il s’engage à ouvrir le capital d’Al-Khabar et mettre les actions à la Bourse d’Alger, "pour que le public puisse les acheter" et que "tous les Algériens qui défendent la liberté d’expression puissent devenir actionnaires". Il réfute ainsi les accusations selon lesquelles il pourrait utiliser les médias de son goupe à des fins politiques. 
Une façon aussi pour Issad Rebrab de prouver que sa seule ambition est de mener à bien des projets économiques en Algérie, alors qu’il dénonce également les blocages dont il se dit victime dans son pays.

 

 

France 24

 



2 réactions


  • HELIOS HELIOS 15 juin 2016 14:56
     ***** Ma seule ambition, le développement économique de l’Algérie *****

    Excellente initiative. 
    Je peux juste vous aider a vous rapprocher de votre but : n’hesitez pas a rapatrier chez vous tous ceux qui sont en France a ne rien faire d’une part, et ensuite tous ceux qui ont quelque chose a apporter a votre pays.
    On peut même facilitér leur retour en commençant par vous renvoyer tous ceux qui ont la double nationalité ... et ensuite leurs descendants si ceux ci, français exclusifs ou pas, souhaitent les accompagner.

    La France aide toujours le sud de la mediterranée, il n’y a pas de raison qu’elle ne cesse.

    • mat-hac matthius 15 juin 2016 15:06

      @HELIOS
      Ne vous en faites pas, si l’Algérie se développe, les entrepreneurs algéro-français iront d’eux-même en Algérie. Ils n’aiment pas la concurrence du CAC 40 français.


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