jeudi 25 avril 2013 - par Planetes360

Islande : le pays des banksters

En 2008, le crash des banques a plongé l’Islande dans une crise profonde. Si le pays ne s’est pas effondré, c’est grâce à l’aide du Fonds monétaire international et des voisins nordiques. Aujourd’hui, l’île se porte plutôt bien. Une indice l’atteste : le taux de chômage est passé de 10 % en 2009 à 4 % aujourd’hui. En outre, les Islandais ont pris très au sérieux les poursuites pénales visant des citoyens accusés de précipiter le pays dans le précipice. Reportage sur les banquiers, les profiteurs et les vikings dans leur combat pour la justice.

 

 


4 réactions

  • bobbt 25 avril 2013 10:02

    Ce point de vue me paraît totalement faux, c’est au contraire par le refus des directives du FMI que l’Islande a pu redresser la situation.

    Cet article est donc de la désinformation et a motivé mon vote négatif (fort rare chez moi).

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  • Famine(la grande) Famine 25 avril 2013 10:39

    Franchement, faudrait arrêter de nous balancer des extraits du journal télévisé d’arte. Quelques demi-vérités pour faire passer de gros mensonges et pour omettre l’essentiel...Cela n’a aucun intérêt ici à mon avis

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  • Qaspard Delanuit Gaspard Delanuit 25 avril 2013 10:53

    Cette vidéo n’exprime aucune conviction de son auteur, c’est apparemment seulement une publicité pour son site. 

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  • wesson 25 avril 2013 11:16

    Je n’ai pas regardé cette vidéo, toutefois le fait est que l’Islande est réellement en passe d’oublier ce pourquoi elle a été contrainte de faire défaut, et semble vouloir recommencer les conneries à l’identique. 


    Qu’est-ce qui a réellement sauvé l’Islande ? D’abord c’est en terme de population un tout petit état, 320000 personnes au total, même pas une grande ville Française, ce qui fait que tout le monde s’y connait - et c’est plus simple à sauver que une grande économie. 

    Mais surtout les Islandais sont assis sur un tas d’or, en l’occurrence le géologie et hydrographie, qui leur permet de produire 100 fois plus d’électricité qu’ils n’en consomment. Et c’est ainsi qu’ils ont attiré des industries très énergivores, comme par exemple la production d’aluminium. 

    Et c’est surtout cela, de l’énergie pas chère et à profusion, qui sauve l’Islande, et surtout qui fait tenir relativement sage ses débiteurs. 


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