vendredi 30 mars 2007 - par Paul Dallio

Guerre des nerfs entre la Grande-Bretagne et l’Iran


François Géré, directeur de l’Institut français d’analyse stratégique, répond à l’équipe de PlusNews.fr sur la question des tensions entre la Grande Bretagne et l’Iran.

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5 réactions


  • N-Y (---.---.183.164) 3 avril 2007 21:29

    l’Iran cherche tellement la guerre qu’elle finira par la trouver. après, comme d’habitude avec cette culture, elle viendra pleurer que l’occident est vraiment trop méchant. Pitoyable.


    • N-Y (---.---.183.164) 3 avril 2007 21:37

      rappeler quand même que les soldats Anglais étaient mandaté par l’ONU. leur enlèvement est donc une provocation extrêmement grave vis à vis non seulement de la Grande-bretagne mais aussi de l’ONU, c’est à dire de la communauté internationale. L’Iran se prépare des jours qui pleurent.


    • N-Y (---.---.183.164) 3 avril 2007 21:41

      que penser de ces pays musulmans qui ont tout pour réussir et en particulier du pétrole et qui font trop souvent les mauvais choix, ceux de la haine, ceux de la terreur, et qui pleurent ensuite, quand ils se retrouvent dans la merde en rendant l’occident responsable de leur situation catastrophique dont ils sont les seuls responsables. ?


  • Christof_M (---.---.225.249) 8 avril 2007 21:18

    Un pays dirigé par un fanatique, avec des ressources, qui fait mourir son peuple de faim au lieu de générer un développement grace aux profits générés par le pétrole. Et non content de maintenir son peuple dans un état de sous développement, passe son temps à provoquer la communauté internationale en se comportant comme un adolescent irrespectueux. Il est souhaitable que le peuple d’Iran se réveille mais il existe des prémices parmi les étudiants... à suivre.


  • Christoff_M (---.---.237.241) 9 avril 2007 19:49

    je ne défends pas Bush que je trouve lamentable dans l’affaire d’IRAK mais je ne peux défendre quelqu’un qui laisse son peuple dans une impasse comme le président iranien, et qui fait prendre des risques idiots à son pays pour quelques belles paroles...


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