vendredi 28 août 2020 - par Les déQodeurs

Général Flynn : l’homme qui fait trembler le Deep State (Obamagate/Bidengate/Clintongate)

Savez-vous qui est cet ancien démocrate qui se trouve au centre des feux croisés de l’ouragan ?
Qui est le point central de tous les plus grands scandales américains des dix dernières années ?
Qui a subi les assauts du FBI avec la complicité de la CIA, du Département de la Justice, et sans doute quelques autres agences à trois lettres pendant près de quatre ans pour un délit qui n’a coûté que 15 jours de prison à un de ses «  co-conspirateurs » ?

Il s’agit du Lieutenant Général retraité Michael Flynn, qui a servi en tant que commandant du Joint Functional Component Command for Intelligence, Surveillance and Reconnaissance en Afghanistan puis en Irak, directeur adjoint du renseignement national, directeur de la Defense Intelligence Agency, et président du Military Intelligence Board de l’été 2012 à l’été 2014 au service de l’administration Obama qui le poussera dehors pour « divergence de vue » et « perte du lien de confiance ».

Mark Levin s’entretient avec Bill Barr (actuel procureur général) sur l’affaire du général Flynn (09/08/2020) :

Flynn réapparait dans la vie publique à l’annonce de la candidature de Trump derrière lequel, tout démocrate soit-il, il se range, et est vite pressenti pour tenir un rôle majeur dans l’administration de ce dernier s’il était élu. A l’été 2016, alors que les rumeurs enflent au sujet de sa nomination comme VP de Trump, Flynn tient un discours engagé en soutien au candidat au cours duquel il ne cache pas son aversion pour l’opposante Hillary Clinton « corrompue », lui demandant de laisser tomber la course pour la Présidence, reprenant le cri « Enfermez-là ! » que scande la foule :

Membre actif de la campagne de Trump, il fait évidemment partie de l’équipe de transition lorsque début Novembre 2016, la nouvelle tombe, cueillant le monde entier par surprise :

Donald J Trump est élu face à Hillary Clinton, pourtant favorite incontestée des sondages.

Le séisme est planétaire. Un Barack Obama pincé déclare à Trump devant les caméras « qu’une transition paisible est sa priorité des deux mois à venir, afin d’être assuré que le Président élu puisse réussir. » 
Beau vœu pieux alors qu’Obama continue de prendre des décisions (1), notamment au Conseil de Sécurité des Nations Unies et, fin décembre, éconduit 35 diplomates russes des USA et annonce des sanctions contre les russes et leurs actifs, en représailles contre l’ingérence russe dans la campagne après qu’un rapport rapport ultra secret qui a depuis été déclassifié ait «  fuité »(2) dans la presse juste après l’élection.

Pendant toute l’année précédente, Hillary Clinton et son équipe ont parlé de collusion avec la Russie, de la part de Trump lui-même et de plusieurs de ses collaborateurs, accusant la puissance étrangère du piratage des serveurs du Parti Démocrate d’avoir communiqué les données piratées à Wikileaks. A l’été 2016, Brennan, directeur du FBI, crée une cellule spéciale (en collaboration avec le Trésor, le DOJ la CIA, le bureau du renseignement ODNI et la NSA) pour enquêter avec le Trésor et le DOJ sur les connexions de Trump avec la Russie (3).

L’enquête baptisée CrossFire Hurricane, permet de mettre Trump et son équipe sous surveillance, s’engageant dans ce qui sera connu ensuite comme le scandale des écoutes (FisaGate). Dans le cadre de cette enquête, le Général Flynn lui, est espionné depuis Août 2016. (4)

Alors que le ton monte entre Obama et la Russie, Mike Flynn, destiné à devenir conseiller à la sécurité de Trump, échangera quelques coups de fil avec l’ambassadeur de Russie aux USA, lui disant à demi mot de ne pas se formaliser plus que nécessaire des mesures décrétées par Obama, que la prise de fonction imminente de l’administration Trump permettrait d’engager de bien meilleures relations entre les deux pays. Le 31 Décembre, Vladimir Poutine annonce officiellement qu’il s’abstiendra de répliquer contre les USA, déclaration que Trump saluera d’un tweet « C’est bien d’attendre, je savais qu’il (Poutine) est très intelligent ».

 

On confirme aujourd’hui avec de plus en plus de preuves déclassifiées et de documents qui font surface, que l’intégralité de la procédure contre Flynn, l’enquête pour collusion avec la Russie et le piratage des emails du parti démocrate ont été bâtis intégralement sur des rapports bidonnés, financés par les démocrates ou directement par Hillary Clinton. Ces rapports ont permis à Obama, le 5 janvier, en réunion avec le patron du FBI Comey et Peter Strzok , Susan Rice, Joe Biden, Brennan CIA, Clapper DNI et Sally Yates, de décider comment ils allaient faire tomber le Général, afin, d’une part de l’éliminer et l’empêcher d’atteindre un poste qui lui permettrait d’agir « au mieux de ses connaissances », c’est à dire en fonction de tout ce qu’il sait, -y compris appris du temps où il était le chef du renseignement américain-, et d’autre part d’affaiblir Trump. Selon les notes de Strzok, l’appel vers l’ambassadeur ne compromettait pas Flynn. Biden a suggéré l’utilisation du Logan Act (un citoyen américain n’a pas le droit d’agir au nom du gouvernement). « Mettez qui il faut après [Flynn] lui » a ordonné Obama.

A partir de ce moment, l’étau se resserre inexorablement sur Flynn. McCabe, directeur adjoint du FBI, laisse fuiter la conversation de Flynn et de l’Ambassadeur dans la presse. Ce dernier avait également transmis à la presse le dossier confidentiel de la CIA sur la collusion russe et lui et Comey forcent le dossier fabriqué contre Flynn dans l’enquête. Grâce à l’enquête de Mueller sur la collusion russe, aux enquêtes sénatoriales sur l’attribution abusive d’autorisations d’écoute FISA et le rapport de l’Inspecteur Général Horowitz sur l’utilisation par Hillary Clinton d’un serveur de mail non sécurisé, sans compter les enquêtes encore en cours de Durham sur l’Obamagate et de Bash sur la collusion et des demandes de démasquages douteuses dans le cas Flynn. On comprend maintenant que Steele, embauché par GPS Fusion, une société payée en partie par le parti démocrate, en partie par Hillary Clinton, a étoffé un dossier à charge sur la collusion entre Flynn et la Russie, réalisé par, nous l’avons appris il y a quelques jours, Danchenko, un fêtard de Washington qui a « fait du zèle pour mériter son chèque » a-t-il dit pour sa défense. Danchenko travaille pour le Think Tank républicain Brookings Institution, dont le financement vient en partie de nos justiciers milliardaires préférés, Bill & Melinda Gates, qui sont décidément philanthropes sur tous les fronts.

Dans les notes déclassifiées de Strzok au briefing de McCabe, on trouvera « Voulons-nous le [Flynn] pousser à la faute ? Voulons nous le faire virer et arrêter ? »

 

Le 17 janvier, de manière informelle, deux agents du FBI interrogent le Général. 
Mike Flynn, ignorant qu’il fait l’objet d’une enquête, ment aux agents sur les appels vers l’Ambassadeur russe, estimant sans doute que le dossier ne les regardait pas. C’est ce mensonge qui sera finalement le seul crime retenu contre lui à l’issu d’un procès qui a trainé en longueur.

Le 27 janvier 2017, Sally Yates, Procureure Générale Adjointe, prévient la Maison Blanche que son Conseiller à la Sécurité « est vulnérable » à la Russie. 
Une nouvelle fuite à la presse oblige Flynn à quitter son poste, 24 jours après avoir prêté serment.

Flynn essuie ensuite des mois d’enquête et d’auditions, notamment avec le Conseiller Spécial Mueller, chargé de faire la lumière sur l’enquête douteuse sur la collusion russe. En Novembre 2017, des rumeurs circulent sur la possible implication de son fils.
Rapidement ensuite, et bien qu’il ait à maintes reprises assuré au Juge qu’il était libre de toute pression, le Général finit par plaider coupable pour avoir menti au FBI, en décembre 2017.

Comme nous le verrons plus tard, il est possible que cette décision ait été liée à des pressions exercées contre son fils.

Deux jours plus tard, le Juge Fédéral Contreras en charge des auditions se récuse, à cause des liens d’amitiés qu’il entretient avec Peter Strzok.
Le cas est transmis au U.S. District Juge Emmet G. Sullivan.

Le 12 Avril 2018, Mueller envoie un mémo à la cours pour disculper Flynn des accusations de collusion avec la Russie et demander une peine minimale, voire pas de peine du tout parce que Flynn a coopéré très efficacement avec ses procureurs dans l’enquête sur la collusion ainsi que sur deux autres (dont une criminelle, abondamment caviardée dans le mémo).

Lorsque Flynn se présente devant Sullivan pour entendre sa sentence, ce dernier fait montre d’une agressivité ouverte. « Je vais être franc, le crime est très sérieux … Vous avez menti au FBI, en présence de la Maison Blanche, vous ne pouvez minimiser ça… Je ne cache pas ma répugnance et mon mépris pour votre conduite criminelle  » éructe-il devant l’auditoire.

Flynn et sa défense demandent alors un report de l’audition, jouant sur le fait qu’il peut encore apporter son aide à Mueller.

Après cela, le Général renvoie son équipe juridique et recrute Sydney Powell, qui détecte immédiatement des irrégularités dans le dossier. D’abord l’ensemble des pièces ne lui a pas été remis, ensuite l’aveu de culpabilité signé par Flynn aurait été obtenu par un accord entre les avocats et l’équipe Mueller, impliquant un chantage sur la mise en examen du fils de l’accusé, accord dont personne, pas même le juge, n’avait entendu parler. Au sujet de cet accord, on apprendra par la suite qu’un procureur avait menti, et que les avocats de Flynn avaient conspirés contre lui.

Sydney Powell demande le retrait de l’aveu de culpabilité de Flynn, arguant que son client a été trompé et mal avisé par sa défense, que des documents à décharge avaient été omis, que des procureurs travaillant sur l’affaire devaient en référer à leur supérieur Bruce Ohr, qui transmettait des informations en parfaite violations des lois et de l’éthique à son épouse, Nellie, qui travaillait pour GPS Fusion. Powell mentionne également des violations déjà mentionnées par le juge dans l’enquête sur les écoutes illégales, pointe du doigt des demandes irrégulières de « démasquage », exige les documents qui ont été « omis » et réclame l’abandon pur et simple des charges retenues contre son client dans un argumentaire virulent de 19 pages.

En décembre 2019, le Juge Sullivan ne tient aucun compte de ses demandes et rejette en bloc la demande de retrait de culpabilité, la demande des documents manquants et refuse de lever les charges.

En Janvier 2020, le procureur du DOJ recommande une peine de prison entre 0 et 6 mois.

D’un commun accord, Juge, Défense et Procureur décident d’attendre la publication du rapport Mueller avant de prononcer la sentence.
Les audiences sont reportées, les unes après les autres.

Sullivan ne fixera pas de date pour une nouvelle audience. En Avril, le rapport Mueller est rendu public et montre les notes qui prouvent que le FBI a cherché à pousser Flynn à la faute.

En Mai le DOJ abandonne les charges contre Flynn, complètement blanchi par le rapport Mueller.

Sullivan refuse de classer l’affaire et prétend que Flynn doit être reconnu coupable d’outrage au tribunal pour parjure. La défense de Flynn utilise alors le Mandamus , qui lui est accordé, pour faire monitorer le juge Sullivan. Le panel de juges sélectionné a donné raison au général et exigé que Sullivan s’exécute. Sullivan a alors fait appel à un autre juge « ami », comme il en a le droit, et demandé à la cour d’appel d’examiner le panel de juges et demande une nouvelle audition insinuant que l’abandon des charges de la part du DOJ devrait être questionné.
Une nouvelle audition est donc prévue pour demain, mardi 11 Août 2020, au cours de laquelle la cour d’appel devrait, enfin, obtenir que le Général Flynn, innocent des crimes dont on l’accuse, sorte totalement blanchi de cette affaire politisée à l’extrême.

Il est à noter que l’attitude du juge Sullivan, qui persiste à poursuivre Flynn alors même que le procureur de l’affaire a abandonné toute charge contre lui, est hautement inhabituel.
Cela contrevient a un principe fondamental en droit selon lequel le juge doit rester impartial et ne devrait pas prendre part au processus d’accusation contre Flynn. 

Un tel acharnement sur un homme qui est manifestement au service de son pays, qui a servi pendant plus de 33 ans, incite à se poser quelques questions.

Pourquoi les démocrates ont-ils déployé tant d’ardeur pour éliminer cet homme du paysage ?
Lui en voudraient-ils à ce point d’avoir rejoint les rangs ennemis, lui qui avait sa carte au parti démocrate ?

Est-ce que Obama a été vexé qu’il soit choisi par Trump comme Conseiller à la Sécurité malgré ses mises en garde ? Flynn avait-il découvert plus que le simple laxisme dont il a fait état sur la gestion des menaces terroristes de l’administration démocrate ?

Ou bien est-ce sa connaissance des dossiers qu’il a traités pendant ses années dans les services de renseignements les plus hauts placés du pays qui le rend si dangereux ? Aurait-il débusqué les meilleurs soutiens des Frères Musulmans quelque part à Washington ?

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Pourquoi a-t-il mis autant d’énergie à essayer de remettre la main sur les 30000 mails d’Hillary Clinton effacés de son serveur privé, menaçant la Sécurité Nationale, possiblement à l’origine de l’assassinat de l’ambassadeur américain à Benghazi, et de la mort de la scientifique iranienne Shahram Amiri.
Ces emails disparus montraient-ils les trafics d’influence perpétrés par Huma Abedin (collaboratrice très proche d’Hillary Clinton) qui obtenait des entrevues auprès de la Secrétaire d’État en échange de donations à la Fondation Clinton, qui partageait son ordinateur personnel et non sécurisé avec son pédophile de mari Weiner ?
Flynn aurait-il eu accès au contenu de cet ordinateur, y aurait-il vu des documents ou des vidéos qui pourraient expliquer l’abomination qu’il semble éprouver pour Hillary Clinton et qui aurait entrainé une épidémie de suicides parmi les forces de l’ordre de New York ?

Peut-être a-t-il épluché les emails piratés du Parti Démocrate publiés par Wikileaks, peut-être même sait-il qui a tué Seth Rich, sous réserve que les deux affaires soient liées, ce que Julian Assange pourra établir lors de son audition.



Sur quelles enquêtes a-t-il aidé Mueller en plus de celle sur la collusion russe ?

Se pourrait-il qu’il soit partie prenante dans une enquête menée par Huber sur la vente d’Uranium One aux russes par la secrétaire d’État Clinton ?

Dans un article à venir nous essaierons de répondre à certaines de ces questions.

Une chose est certaine, c’est que les enquêtes se multiplient, que le nombre de documents déclassifies ne cesse d’augmenter, que les sénateurs font du forcing pour démasquer ceux qui, dans l’exercice de leurs fonctions officielles, ont trahi, comploté, falsifié des documents, présenté de faux rapports, abusé des outils de surveillance sur des citoyens américains, menti aux commissions d’enquête, et font un travail remarquable de recoupage dans des affaires très différentes au premier abord, mais qui sont toutes liées aux mêmes protagonistes peu scrupuleux :

 

• La Procureure générale, Sally Yates, qui sera limogée en Janvier 2017 par Trump, et qui vient de témoigner devant la commission d’enquête sénatoriale, 
• Les directeur et directeur adjoint du FBI, Comey et McCabe. Ce dernier a été acquitté après avoir partagé des dossiers confidentiels avec la presse, chez qui il a trouvé refuge comme conseiller spécial à CNN,
• Les deux amants maudits Strzok et Page dont les échanges de SMS ont fait scandale.
Ces quatre-là sont également ceux qui ont enquêté et saisi le serveur d’email privé non sécurisé d’Hillary Clinton. Comey l’a blanchie, a clôturé l’enquête qu’il a rouverte quelques jours avant les élections à cause des emails de John Podesta publiés par Wikileaks, qui venaient du piratage du DNC. Ce sont eux encore qui ont mené l’intégralité de l’enquête sur l’ingérence de la Russie dans la campagne, et celle de la collusion. S’ils n’avaient pas été virés, il est certain qu’on les retrouverait sur la procédure en destitution de Trump ;
• Susan Rice, conseillère à la sécurité d’Obama, ambassadrice des USA à l’ONU au moment de l’attentat de Benghazi, et sur la liste des Vice-Présidents potentiels de Joe Biden…

La liste est longue.

Nul doute que si Flynn est blanchi demain, il devrait retrouver un poste d’influence qui lui permettra, nous l’espérons, d’aider à mettre en lumière les recoins les plus moisis de l’État Profond qui rogne nos droits, nos liberté et nos démocraties à l’échelle de la planète.

Catherine Bully, avec le soutien de Rudy Anyway 
et l’aide des qolibris pour les Déqodeurs 
10/08/20

Licence Creative Commons
Patriote Solitaire de Catherine Bully est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution – Pas d’Utilisation Commerciale – Partage dans les Mêmes Conditions 4.0 International.
Fondé(e) sur une œuvre à www.dissept.com.

 


NOTES

(1) https://obamawhitehouse.archives.gov/the-press-office/2016/12/29/fact-sheet-actions-response-russian-malicious-cyber-activity-and
https://ru.usembassy.gov/department-state-actions-response-russian-harassment/

(2) On sait maintenant que la fuite venait du directeur adjoint du FBI Andrew McCabe :https://eu.usatoday.com/story/news/politics/2019/09/12/andrew-mccabe-prosecutors-recommend-charges-former-fbi-official/2301473001/

(3) https://www.theepochtimes.com/jeff-carlson-on-fisa-abuse-timeline-revelations-and-the-targeting-of-michael-flynn_3366860.html

https://www.theepochtimes.com/t-fisa

(4) http://www.scottallancole.com/the-railroading-of-general-michael-flynn/
« Flynn a rencontré Stefan Halper lors d’une conférence des services de renseignement à Londres en 2014. Stefan Halper joue un rôle clé dans toutes les manigances de la communauté du renseignement et dans l’enquête Trump-Russie. Apparemment, Halper a été tellement alarmé par l’association de Flynn avec une femme russe lors de cette conférence que Halper a informé les autorités américaines que Flynn pouvait avoir été compromis. »(NDR il sera d’ailleurs poursuivi en diffamation par la-dite femme)
Après avoir quitté l’administration Obama et l’armée, le général Flynn a créé le Flynn Intel Group (FIG) avec son fils, Michael Flynn, Jr. Cette entreprise fournissait des services de renseignement aux entreprises et aux gouvernements. Son travail consistait à fournir des services à un certain nombre de sociétés ayant des liens avec la Russie, mais il a également travaillé pour des sociétés telles que Palo Alto Networks et Adobe Systems.
C’est également dans ce cadre qu’il a eu des relations avec la Turquie.
En décembre 2015, Michael Flynn a assisté à un dîner de gala à Moscou en l’honneur de RT, un média anglophone appartenant au gouvernement russe. Le général Flynn avait fait quelques apparitions sur le réseau en tant qu’analyste. Lors du dîner, le général Flynn était assis à côté de Vladimir Poutine, ce qui a fait sourciller les médias américains et l’administration Obama. »

C’est le même homme qui a dit fin décembre, deux jours avant les coups de fil a l’ambassadeur russe dans un enregistrement qui vient de faire surface que « Flynn ne resterait pas bien longtemps, qu’il était « baisé »
https://soundcloud.com/user-82429683/halper-schrage-jan-10#t=0:00

 

Le général Flynn est-il un des top membres du mouvement Q ?

Depuis octobre 2017 où les premiers posts de Q sont apparu, les « anons » (suiveurs de Q) ont demandé des preuves de nombreuses fois sur le fait que Q travaille avec le Président américain. Q a fourni des preuves régulièrement mais il s’agissait toujours des preuves indirectes (posts synchronisés avec Trump, demander à Trump de faire des Tweets avec des mots-clés bien spécifiques…). De plus en plus de personnes ont commencé à suivre Q mais beaucoup avaient encore des doutes et avaient du mal à croire que Q était ce qu’il prétendait.

Cela a changé ce 4 juillet, fête nationale du Jour de l’Indépendance, quand le Général Flynn publia une vidéo sur son compte Twitter. (regardez surtout le petit bout, de 00:44 à la fin)

Le général Flynn s'associe à Q en terminant sont serment par WWG1WGA (Where We Go One We Go All) expression rendue célèbre par Q et les QAnons dont l'équivalent en français est « Un pour Tous et Tous pour Un » :

Lre l'article complet sur le clin d'oeil de Flynn à Q ici : https://www.agoravox.tv/tribune-libre/article/le-general-flynn-confirme-que-le-86565

 

En savoir plus :
si vous souhaitez écouter le récit de la partie anglaise du Spygate, qui a donné lieu à l’enquête sur la collusion Russe, vous pouvez charger gratuitement 6 épisodes ici

 

Notre dernier live : La véritable guerre invisible !!! (l'architecture du Deep State)



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