Développement économique de l’Ethiopie
L'Ethiopie a quitté le FMI pour rejoindre les BRICS. Donc elle se développe.
14 réactions
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gerfaut
9 juin 2016 17:51
Les chiffres sont des petits être fragiles à qui on fait dire ce qu’ on veut sous la torture, comme disait Alfred Sauvy.
Et voilà, Matthius a encore gobé le baratin de ceux qui voudraient qu’ il y ait des pays émergents pour concurrencer les grandes puissances, joli programme, mais complètement faux !Dans les dernières statistiques on veut que l’ Afrique s’ enrichisse, alors que c’ est complètement faux, c’ est le contraire. Pour pouvoir s’ extasier devant la hausse de la classe moyenne, les statistiques établissent qu’ on est de la classe moyenne si on gagne 2.5 dollars par jour en Afrique ! Waouh !!! A ce compte-là, on aura bientôt des millions de consommateurs ethiopiens en plus !Quelle époque formidableu !-
QaviQeQuarQo
10 juin 2016 21:26
On ne sort pas du moyen age du jour au lendemain,
sana tomber dans l exagération optimiste de la jeune dame, c est tout de meme un pays qui ort la tete de l eau et qui se dote d infrastructures, comme l angola et d autres....
Cela se passe comme en chine, les pays rattrape d abord leur retard technologique avant dememe si cela se passe encore trop lentement comparé a d autres continents.
La différence est surtout avec les pays de la zone CFA-euro, qui eux n ont pas de croissance depuis des décénnies. Dessortes de Grece avant l heure.
@gerfaut
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gerfaut
9 juin 2016 17:58
Je ne sais pas ce qu’ elle a fumé : "l’ Ethiopie première destination touristique du monde "
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gerfaut
10 juin 2016 17:43
Depuis 50, l’ Ethiopie est frappée par les sécheresses, 10 millions de personnes auraient sombré dans l’ assistance alimentaire. Mais on va dire que je suis raciste...
C’ est sûr, quel pays riche !-
jean mouche
11 juin 2016 00:01
@gerfaut
C’est dû à la sècheresse mais aussi aux rendements par nature dérisoire du teff (nourriture traditionnelle). aux guerres du 20eme siècle, à la sécession de l’Erythrée qui leur coupe tout accès à la mer, pas d’hydrocarbures non plus, des voisins hostiles, un paysage accidenté.
Oseriez vous leur reprocher de ne pas abandonner leurs traditions culinaires ?
Si ils faisaient pousser des patates à la place il y aurait moins de famines.
Mais quand on est fier... Et il y a de quoi, rare sont les pays où l’on sent autant le poids d’une longue histoire et où des moeurs "antiques" dans le plus pur sens du terme continuent d’exister.
Habéshou torodno betam.
Merci les abyssins, belle leçon de virilité et de pureté "originelle", à côté de vous, serbes et russes sont des playmobils de contrefaçon (et je les aime aussi !).
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