jeudi 29 juin 2017 - par Mao-Tsé-Toung

14 juillet : Macron invite le psychopathe -selon la doxa journalistique- Donald Trump et son épouse !

La doxa journalistique française, excellemment représentée dans cette vidéo par le non moins excellentissime confrère, François Durpaire ; en vérité un pseudo-spécialiste des Etats-Unis, bavard et culotté, véritable journaliste type idéologue, qui, comme nous dit Michel Onfray, préfère à un travail honnête, des interventions faciles de propagande éhontée et ostentatoire, en ressassant de vieux poncifs de la doxa dominante, quitte à opérer un certain rétro-pédalage honteux quand par exemple ici, le psychopathe devient hôte d'honneur !

 

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Quant à Macron, il profite de son excellent anglais -rare chez ses prédécesseurs- pour briller auprès de son public de thuriféraires, en invitant Donald Trump et son épouse !

 

la vidéo :

 

FRANCE 24 - 14 juillet : Macron renouvelle son invitation à Trump


 



4 réactions


  • bob14 bob14 29 juin 2017 10:45


    Entre "psychopathe"c’est l’entente cordiale ?

  • izarn 29 juin 2017 10:52

    Bof Sarkosy avait bien invité Bachar Al Assad un 14 juillet...
    Et Kadhafi à Versailles !
    Les mecs, on a déja vu le film !
     smiley


    • wendigo wendigo 30 juin 2017 19:35

      @izarn

       Vous voudriez dire que jupiter veut aller bombarder les usa ? non parce que c’est ce qui est arrivé aux chefs d’état ... oups pardon ; aux dictateurs mangeurs d’enfants que vous avez cité !


  • Oursquipense Oursquipense 29 juin 2017 15:13

    La participation de la patrouille de l’air américaine au 14 juillet 2017 est confirmée depuis plus d’un an. Rappelons qu’il s’agit du centenaire de l’entrée des USA dans la guerre de 14-18, en particulier en France, la légende voulant que l’Amérique, reconnaissante à la France de l’avoir soutenue au moment de la guerre d’Indépendance, vienne à la rescousse de son immortel allié sans envisager la moindre contrepartie.

    Il est évident que n’importe quel président français élu à ce moment-là allait être contraint d’inviter n’importe quel président américain élu à ce moment-là. Trump et Macron n’ont en fait pas grand chose à voir dans cette affaire.


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