Scandale au Parlement européen : des députés pointent à 7h... et prennent la fuite !
Cette vidéo date de 2008, mais mérite néanmoins le détour...
8 réactions
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machiavel1983
26 octobre 2011 11:00
Quenelle de 175 à tête rotative !
Mais bon de toute manière, ils peuvent se barrer ils ne servent à rien d’ autre qu’ à valider les décisions des technocrates eux meme sous les ordres des ploutocrates !
Mais au moins que les naifs se rendent compte à quoi ont servit leur vote ...
Merci pour la vidéo !P.S : bien vu d’ avoir mit la vidéo de Chouard juste en dessous !
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Lou8
26 octobre 2011 11:07
La racaille des technocrates empochent pour cette " europe " que nous ne voulons pas ...
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rastapopulo
26 octobre 2011 13:23
Il faut bien à un moment séparer l’écologie d’opérette (co2phobie, lampe basseconso au mercure, renouvelable fabriqué avec plus de charbon, doublement de réseaux, nucléophobie, malthusianisme,...) d’une écologie ouverte au débat ( élever le niveau de vie des pays pauvres, énergie avec le moins d’espace et de matières utilisés, petit bateau de pêche, accent en priorité sur le BIO,...).
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stabilob0ss
30 octobre 2011 20:26
Firepox tu racontes n’importes quoi, t’es complétement a coté non seulement du sujet, mais aussi de tes pompes. Le spécialiste du blabla c’est bien toi, et tu nous en donnes encore une preuve éclatante.
Tu serais pas un collabo qui fait semblant de pas l’être par hasard ?
Réponds pas, on le sait tous.
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Gracchus
26 octobre 2011 15:06
Une des causes parmi tant d’autres de la déconfiture européenne actuelle. Corruption, magouilles, combines, copinages, multiplication des commissions, lobbying éhonté...autant de cancers qui rongent nos pays au jour le jour. Sur fond de culpabilisation générale ; finie la belle vie, il va falloir se serrer la ceinture pour nous...pas pour eux : les tenants du jusqu’auboutisme fédéraliste et mondialiste. La seule chose qu’ils ont parfaitement réussie, c’est la paupérisation de la société, ce vieux rêve néo-libéral : que chaque pays d’Europe devienne un Guatemala du XIXe siècle en puissance, gouverné par une oligarchie repue qui est déjà bien installée sous les frusques de la démocratie.
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