jeudi 17 avril 2014 - par Agence Info Libre

Nigel Farage Vs Nick Clegg : La Grande-Bretagne doit-elle sortir de l’Union Européenne ?

Débat en deux manches entre Nigel Farage, leader de l’UK « Independence Party » et « Nick » Clegg, Vice-premier ministre, leader du parti « Liberal Democrats ».
La question : La Grande-Bretagne doit-elle sortir de l’Union Européenne ?

 

 

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9 réactions

  • Jean Rigole Jean Qirigole 17 avril 2014 11:13

    Selon deux sondages réalisés après les débats, Farage l’emporte haut la main.
     
    YouGov à 68%.
    Guardian/ICM à 69%.

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  • Nora Inu Nora Inu 17 avril 2014 11:41

    Nick Clegg , un vrai Anglais (non , j’rigole) , et un vrai erwanet ... enfin un libéral , quoi .


    Nick Clegg est le troisième de quatre enfants. Son père, Nicholas, qui a des origines russes, a fait carrière dans la banque et occupe actuellement des fonctions d’administrateur (anciennement président) de la Fondation anglo-japonaise Daiwa. Son arrière-arrière-grand-père, Ignaty Zakrevsky, aristocrate russe, fut haut-procureur du premier département de la Justice du Sénat de l’Empire russe. Son arrière-grand-tante, la baronne Moura Budberg, née Zakrevskaïa, sœur de l’arrière-grand-mère de Nick Clegg, Alexandra von Engelhardt, était écrivain et fut la maîtresse de Gorki.
    D’origine néerlandaise, sa mère, Hermance van del Wall Bake, était éducatrice et s’occupait d’enfants à besoins particuliers. Pendant son enfance, Nick parlait indifféremment le néerlandais et l’anglais. Il parle aussi français (comme le prouvent ses études au collège d’Europe), allemand et espagnol.

    Citations :
    When I became leader, I made very clear I was not going to choose the easy life. I have always taken risks. I don’t like comfort-zone politics.
    (vous êtes priés de ne pas rire)

    If you scratch below the surface and ask what really makes me tick, it’s the liberalism of trying to promote freedom and opportunity. Promoting social mobility is one of the keys to that.
    (ben voyons)

    Politics is a highly tribal business.
    (english humour)


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  • zygzornifle zygzornifle 18 avril 2014 09:03
    La Grande-Bretagne doit-elle sortir de l’Union Européenne ?....Elle n’aurait jamais du y rentrer ce ne sont que des pickpocket plongeant leurs mains avides dans le portefeuille européen ne prenant que ce qui les intéresse , pour moi ce ne sont que des parasites à la solde des USA....
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  • FifiBrind_acier 18 avril 2014 10:40
    1. Farage soutient Dupont Aignan, ils sont pour "Une Autre Europe", une Europe des Nations.
    Ils ne sont pas opposés à la construction européenne.
    Ils ne veulent pas en sortir pour retrouver l’indépendance et la souveraineté, mais pour faire une Autre Europe, aussi fermée sur le monde extérieur que celle -ci.

    Ils ne parlent jamais de l’article 50 pour sortir de l’ UE, et n’expliquent pas comment ils vont faire pour atteindre leur but.
    Le plus probable est qu’ils comptent renégocier les Traités, une belle illusion !

    L’UPR ne veut d’aucune autre construction européenne, mais en sortir définitivement et unilatéralement.

    L’UE est irréformable. C’est Etienne Chouard qui l’explique.
    "Chouard, l’ UPR et l’article 50"
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  • Le Zouav 18 avril 2014 11:24

    Les partis politiques nationaliste en europe se font financer (once again) par la citi et la rue du mur (nigel farage est un exemple).
    Les parallèles avec l’avant WW2 s’accumulent, ca ne laisse présager de rien de bon.

    L’opposition politique dont on nous rabache les oreilles, qui s’oppose nettement à ce qui existe (en tout cas dans la forme et le discours), est tout aussi perverti et corrompu que ceux en place : l’argent occupe une place trop importante dans les campagne electorales (est trop indispensable) pour esperer un changement par ce biais là, et ceux qui fournissent aux pro et aux anti-UE la thune sont les mêmes. (Ceux sur l’échiqiuer politique).

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    • FifiBrind_acier 18 avril 2014 18:53

      Le Zouav,
      Si vous voulez aider à financer la campagne des Européennes de l’ UPR, c’est bien volontiers. Il nous manque 300 000 euros, c’est bien volontiers que l’ UPR accepte d’être financée par les citoyens...

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  • spoty spoty 18 avril 2014 11:52

    Nick Clegg utilise les techniques habituelles ( censées être l’apanage de l’extrême-droite mais peut être parce que l’extrême-droite n’est plus là où on le croyait..) des européistes : faire peur. En gros : si on quitte l’U€ ça sera la fin des temps.

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