Nigel Farage : "nous voulons une Europe des Etats-Nations"
Nigel Farage donne la leçon aux parlementaires européens qui ont de plus en plus peur de la montée de l'euroscepticisme et peur également de perdre leurs places aux prochaines élections européennes.
8 réactions
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la mouche du coche 25 octobre 2013 07:58Beau discours énergique et argumenté qui devrait convaincre ces parlementaires, si ceux-ci n’étaient pas sélectionnés pour ne pas être convaincus. Ils ne changeront jamais d’avis parce qu’ils ont des intérêts à ne pas le faire. Sinon ils ne seraient pas là.
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wendigo 25 octobre 2013 08:04Je n’aime pas du tout la tête que fait baroso quand farage fait remarquer que les nationalistes risque fort de remporter les prochaines élections européennes. On sent sur sa face une forme de peur doublée d’une désorientation.
Je sent que ce type là et sa bande de malhonnêtes vont nous faire un coup de pute pour empécher cette finalité.
A suivre de très prêt tout ce qui sera relatif à cette échéance éléctorale !! -
le naif 25 octobre 2013 10:13Je sais qu’il y a des contacts entre l’UKIP de Nigel Farrage & DLR de Dupont Aignant, mais y a t-il des contacts entre UKIP & le FN ???
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Jean Rigole 25 octobre 2013 14:05Tweet tout récent de Ian Katz @iankatz1000, journaliste à la BBC : FN’s Marine Le Pen says Nigel Farrage « reticent » about forming alliance with her but « a lot of UKIP members would be happy to form alliance . N’ayant pas d’abonnement à tweeter...
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Jean Rigole 25 octobre 2013 11:57Merci à cpt_anderson de diffuser les interventions de Nigel Farage, malheureusement isolé dans cette assemblée de collabos, le mot n’est pas trop fort. La finalité du parlement européen est de promouvoir et d’instaurer les États-Unis d’Europe. Point. Après, chacun y adhère ou non, mais encore faut-il le savoir !
Le projet n’était pas tabou du temps de Jean Monnet, il l’est rapidement devenu avec le peu d’enthousiasme démontré par les populations européennes. Aujourd’hui, comme le dit avec justesse François Asselineau, l’Union européenne a réalisé l’exploit de s’imposer aux peuples européens par l’ennui et la discrétion des médias.
Si le projet du « Grand marché transatlantique » a été officialisé par Obama lors du traditionnel discours sur « État de l’Union » début 2013, il est à l’étude depuis plus de 20 ans, notamment avec le Transatlantic Policy Network, un think tank euro-étasunien crée en 1992 réunissant des parlementaires européens, représentants du Congrès et multinationales (Boeing, Ford, Michelin, IBM, Microsoft, BASF, Daimler Chrysler, Péchiney, Deutsche Bank, Siemmens, Bertelsman...). Les parlementaires que vous entendez s’indigner ont validé le projet en votant le 8 juin 2008 la « Résolution du parlement européen sur les relations transatlantiques B6-0280/2008 ». -