Les Italiens et la crise
Durement frappés par la crise, des Italiens font part de leurs préoccupations et de la façon dont ils protestent ou luttent pour s’en sortir. Piero, 50 ans, ouvrier de Gênes, évoque son récent licenciement. Monsieur Brambilla, chef d’entreprise de Monza, qui vota Berlusconi, doit faire face à la montée des impayés, car ses clients sont devenus insolvables. Franca, jeune mère qui ne recevait aucune aide publique, a créé via Facebook un réseau privé centralisant des propositions d’emploi. Georgia veut absolument sauver de la faillite la petite entreprise familiale dont le mauvais bilan a conduit son père au suicide. Elle a fondé un collectif avec d’autres femmes plongées dans des situations analogues. Giorgia, chauffeur de taxi romain, se fait du souci pour son avenir, mais garde toujours une oreille compatissante pour ses clients. Ce documentaire se conclut par un reportage sur un groupe de lycénnes qui ont occupé leur établissement pour protester contre les réductions drastiques imposées à l’enseignement.
6 réactions
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Schweizer.ch
10 avril 2013 16:13
Et sur le "vainqueur" des élections, l’ex(?)-communiste Bersani qui bloque depuis sept semaines la formation d’un gouvernement, il n’y a rien ?
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Josine Staleph
10 avril 2013 16:53
Et n’oubliez pas que les idiots utiles français comme Mélenchon, Cohn-Bendit, Médiapart l’Humanité et le reste de la pravda française, ainsi que le reste de la gauche et de la droite néolibérale, voient en Beppe Grillo et son M5S :
-une menace pour la démocratie
-un danger populiste
-le résurgence du fascisme italien... les zeures sombres de notre Histoire...
Tous ces guignols préfèrent évoquer les bon vieux pourris qui reviendraient aux affaires, équivalents de nos UMPS à la Cahuchirac.Et c’est marrant, la seule personnalité politique qui sort du lot sur ce sujet a un père célèbre, est blonde, et est la première femme politique préférée des français (exit Lagarde, c’est une grosse manipulation concernant cette future repris de justice).
Mais ah la la, la gauche, la droite, le peuple, c’est plus ce que c’était, on s’y retrouvait mieux au bon vieux temps des oligarques nomenklaturistes et de la guerre froide, hein le journal Fakir !?
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soma
11 avril 2013 13:03
1h à parler de nos élites psychopathes sans jamais les montrer, à faire des pseudo-décryptages stériles de la situation, à pleurnicher sur les problèmes sous un angle économico-économique.
Et surtout, surtout, pas une once de solution, alors même qu’on en a des tonnes.Ces gens ne veulent pas vivre, ce sont juste des robots mis au rebut qui se rendent subitement compte qu’ils éprouvent encore des sentiments et qui n’aspirent qu’a être alloués à nouveau à une nouvelle fonction.
A ceux que ce commentaire dérangerait : ce n’est pas de la misanthropie, juste un constat amer...
