C’était comment la Grèce avant l’UE ? Ce que les médias ne vous diront jamais
Longue descente au enfer depuis le 1er Janvier 1981, date de l'adhésion de la Grèce à la Communauté européenne.
Merci à la chaîne de GERONIMO Guu ji ya pour cette vidéo :
https://www.youtube.com/channel/UCjY0nl5PhkWPadhEzq_1rIw
Plus d’infos - http://news360x.fr/
11 réactions
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Fidol Castré
11 juin 2015 09:48
Hormis les premières périodes d’adhésion qui voient alors les subventions européennes couler à flots sur les nouveaux adhérents, c’est l’appauvrissement généralisé. On pourrait dire la même chose de l’Italie, l’Espagne et de la France.
Désormais nous le savons : construire l’Europe, c’est asservir les Nations.-
izarn
11 juin 2015 14:05
@Fidol Castré
Non tu te plantes, ce ne sont pas des subventions, le budget de l’Europe est bien trop étriqué pour ça !C’est simple avec l’euro la Grece pouvait emprunter de façon bien plus facile qu’avant. Ainsi que l’Irlande, le Portugal, l’Espagne, l’Italie...Ajoutons la dérégulation de la finance, la titrisation, les CDS. Et voila le travail. Comme aurait pu dire Poutine : "Vous avez joué avec la Grece comme d’une expérience de laboratoire avec des rats"
Simple : Euro=Allemagne. Les allemands rembourseront disaient les banquiers, les rentiers, les capitalistes. Voila t’as tout pigé.
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Fidol Castré
11 juin 2015 10:03
Mais pour aller au Bilderberg cette année en Autriche, pérorer parmi les fossoyeurs des peuples, là y’a du monde...Juppé y est cette année, mauvais signe pour Sarko.
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izarn
11 juin 2015 14:11
@Fidol Castré
Meme sans dette, elle aurait du rester hors de l’Euro, ce qu’aurait aussi du faire la France !Le plus débile c’est que l’Allemagne ne voulait pas de l’euro !
Qui est le CON galactique qui a voulu l’Euro et la Réunification de l’Allemagne ?
François Mitterrand. (Bien entendu n’oublions pas Giscard d’Estaing)
Ce cher ministre collaborateur de Vichy avec le IIIieme Reich.
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lancelot
11 juin 2015 11:23
l espagne c etait le tiers monde en europe, saleté,pauvreté, chemins de terre . alors j imagine la grece ..
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mmbbb
12 juin 2015 11:00
@lancelot Ces trois pays le Portugal l’Espagne et la Grece ont connu des dictatures L’arrimage a l’Europe doit les sauvegarder et eviter que ces pays ne retombent a nouveau dans ce mauvais pas L’intention etait louable mais ces peuples et celui de la grece en particulier n’ont pas voulu jouer le jeux La bonne gestion d’un etat ne s’improvise pas La Grece n’a jamais voulu assoir une compabilite publique aux normes L’impot n’est pas recouvre il est toujours facile de reporter entierement la faute sur l europe comme la classe politique francaise la faite aussi.
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cathy30
11 juin 2015 13:27
Deuxième sujet de tension ? : le serpent de mer de la question de Chypre et de l’Égée. Depuis 1973, la Turquie revendique des droits d’exploitations économiques sur la partie orientale de la mer. Les enjeux y sont gaziers et pétroliers. Idem au sud de Chypre. “Nous avons ici une situation très particulière ? : un candidat à l’entrée dans l’Union conteste les frontières et les droits économiques de deux États de cette même Union ?!”,
L’Union européenne, au lieu de raisonner en terme politique, ce qu’elle a toujours fait avec la Grèce – ce fut le cas pour l’admission dans la Communauté européenne en 1981 et dans la zone euro en 2001 –, raisonne uniquement en termes économiques. L’Allemagne dispose du leadership sur ces sujets. Historiquement allié de l’Empire Ottoman, Berlin reste ferme sur le sujet de la dette souveraine grecque. Présente à Washington le lundi 9 ?février, la chancelière Angela Merkel n’a pas changé d’avis ? : les Grecs ont fauté, ils doivent payer.
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izarn
11 juin 2015 14:21
@cathy30
Non, ce n’est pas une question de faute. Les allemands ne veulent pas payer la dette grecque. Parceque la faute, hein, tout le monde l’a commise, les allemands itou !Payer la dette, cela veut dire faire des emprunts. Tout le monde emprunte. C’est faire obligatoirement marcher la planche à billet, sinon : Faillite !
Donc c’est aller vers le plongeon de l’euro, la ruine des capitalistes et rentiers. Résultat, l’UE explose, et chacun retourne à son état nation pour sauver sa peau.
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Miville
12 juin 2015 02:07
Ce que les bien-pensants ne vous diront jamais, c’est que le régime des Colonels fut celui sous lequel la population grecque parvint presque immédiatement pour toute la durée de ce gouvernement au plus haut niveau de vie réel depuis l’indépendance du pays, et que la victoire du socialiste Papandréou marqua le début de la fin de cette époque qu’il ne retrouvera plus jamais. Les colonels voulurent en particulier éviter à la Grèce un des pires facteurs dépresseurs du revenu des familles modestes, à savoir la déchéance culturelle et intellectuelle organisée qui était en train de s’installer partout en Occident, par exemple la vulgarisation de la langue, la sociologie, les mathématiques modernes, le triomphe des homosexuels, le néo-paganisme. Ce que les bien-pensants ne vous diront jamais, c’est que les Colonels, même s’ils étaient pro-OTAN, refusèrent d’entrée de jeu de reconnaître chacune des dettes extérieures considérables du pays envers Wall Street qu’avait aidé à contracter entre autres Papandréou sénior, agent de banque.