lundi 2 décembre 2024 - par mat-hac

Anne-Laure Bonnel sur le conflit russo-ukrainien : "On est dans une merde folle !"

Eric Morillot reçoit Anne-Laure Bonnel pour une discussion sur son parcours de journaliste et sa vocation. L'épisode explore sa vision du journalisme actuel, l'importance de l'investigation et les effets de la médiatisation, incluant la censure et l'autocensure. Anne-Laure Bonnel aborde le wokisme et les accusations de propagande, tout en discutant de la liberté d'expression et des controverses au Canada. Elle partage son intérêt pour le Donbass, analyse la politique occidentale et la compréhension des actions russes. La conversation s'étend sur l'évolution du conflit, le risque de guerre nucléaire, et la position de la France, tout en critiquant la manipulation médiatique et l'ostracisation des voix dissidentes.

0:00 Introduction et présentation de l'invitée Anne-Laure Bonnel
1:35 Concept de l'émission et parcours d'Anne-Laure Bonnel
5:05 Enfance et vocation de Anne-Laure Bonnel dans le journalisme

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8:56 Regard sur le journalisme actuel et importance de l'investigation
12:27 Discussion sur le wokisme et réaction aux accusations de propagande
17:04 Effets de la médiatisation, réseaux sociaux, censure et autocensure
21:12 Liberté d'expression et accusations de censure au Canada

25:47 Liberté de parole et débat sur des sujets controversés
27:41 Intérêt pour le Donbass et analyse de la politique occidentale
34:36 Compréhension des actions russes et occidentales, Accords de Minsk
43:20 Évolution du conflit, soutien occidental et fragmentation du monde
49:08 Risque de guerre nucléaire et position de la France dans le conflit
52:33 Violence médiatique, manipulation de l'actualité, et ostracisation des voix dissidentes



1 réactions


  • AmonBra AmonBra 4 décembre 2024 11:49

    "On est dans une merde folle"

    Ah ben voila pourquoi ça pue autant en France ! Je me disais aussi. . .

    il parait même que ça jamais autant pué, si ce n’est durant la période pétainiste, dont certains scatologues ont la nostalgie, les mêmes d’ailleurs regrettant l’époque bénie de la coloniale, mais je n’étais pas né pour le confirmer. . .


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