lundi 23 juillet 2007 - par Celine

Sécurité nucléaire : mensonges à répétition

Le séïsme qui a provoqué un "incident" dans la centrale nucléaire de Kashiwazaki-Kariwa au Japon, qui est accessoirement la plus grande au monde, a été suivi par de nombreux jeux de cache-cache et de dissimulations. Pas de risque pour l’environnement, pas de danger pour les riverains. Tout va bien, dormez maintenant. Et pourtant, tout n’est pas si simple. Et les Japonais le sentent bien. D’autant qu’il y a des précédents dans la remise en question de la sécurité nucléaire japonaise. Et en France me direz-vous ? Eh bien la question se pose aussi, notamment à Gravelines, plus grande centrale de l’Europe occidentale.



2 réactions


  • geocari (---.---.9.14) 25 juillet 2007 18:27

    Le nucléaire se doit d’être transparent ; Cacher la vérité aux autorités de sûreté et aux citoyens est inacceptable ; mais il ne faut pas sombrer dans la paranoïa ni dans la désinformation comme c’est le cas ici... Les erreurs du passé ne sont pas excusables mais doivent servir de leçon pour améliorer la situation. Les autorités de sûreté sont indépendantes et neutres, elles ont pour vocation légale prioritaire de protéger les citoyens. Par contre propager la désinformation, l’amalgame entre civil et militaire, est tout aussi criticable et participe à l’inquiétude des citoyens. Cette attitude émotionnelle et irrationnelle n’a rien à voir avec une attitude rationnelle, factuelle et responsable. Pour plus d’information, consultez le site de GREENSPIRIT : www.greenspirit.com, créé par Patrick Moore, co-fondateur de Greenpeace.


    • bmd (---.---.31.6) 26 juillet 2007 14:13

      Merci pour l’information sur Greenspirit.Enfin des écologistes qui ne sont plus aveuglés par leur extrêmisme ! Mais il y en a de plus en plus semble-t-il. En France, il y a par exemple l’AEPN, association des écologistes pour le nucléaire, www.ecolo.org . Mais l’information reste dominée par les membres de l’Alliance pour la Planète, à la majorité desquels les critiques de Patrick Moore peuvent s’adresser.


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