lundi 2 juillet 2007 - par Jenny

Une nouvelle mondialisation

Susan George, Américaine de naissance et citoyenne française, est politologue et vice-présidente d’ATTAC. Elle est notamment l’auteur du Rapport Lugano (Fayard, 2000), et de La Mondialisation libérale (avec Martin Wolf Grasset/Les Échos, 2002). Pour elle, l’OMC fait de toute chose une marchandise sans se soucier de l’environnement et du travail par exemple. Or, il est encore possible de faire marche arrière, "d’embêter le monde" pour parvenir à "une nouvelle grandeur".


1 réactions

  • (---.---.16.158) 3 juillet 2007 12:05

    C’est un peu normal que l’Organisation mondiale du Commerce s’occupe de commerce, de marchandises, et non pas des petites fleurs et des belles pensées, de la poésie..

    Son discours est un peu du bla bla, il n’y a pas grand chose de concret. Que veut dire "penser pour améliorer le monde". Personne ne peut dire cela. Qui sait ce dont à besoin "le monde".. ? Il faut vraiment penser à la place des autres pour dire cela. DU CONCRET ! PLUS DE CONCRET SVP !!

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