mercredi 28 août 2013 - par TerrEthique

Pierre Combris - Les grandes tendances de l’alimentation dans le monde : convergences et limites

Pierre COMBRIS, économiste, directeur de recherche à l’INRA et spécialiste dans le domaine de l’évolution de la consommation et des pratiques alimentaires intervient pour TerrEthique autour du thème : "Les grandes tendances de l’alimentation dans le monde : convergences et limites".

 

Partie 1 : Croissance économique et consommation alimentaire

 

 

Partie 2 : Les limites des ressources

 

 

Partie 3 : Les maladies non transmissibles d’origine alimentaire

 



2 réactions


  • sobriété sobriété 29 août 2013 09:01

    "L’Inra (Institut nationale de la recherche agronomique) est chargé«  d’améliorer les plantes » pour les adapter partout au même « paquet
    technologique » qui supprime la diversité des terroirs. La diversité des variétés
    paysannes n’est plus utile. L’Inra invente la variété non variée, « distincte,
    homogène et stable » (DHS), seule à pouvoir être enregistrée sur le catalogue
    officiel ouvrant le droit d’en commercialiser les semences. C’est au nom de la
    science que l’Etat assure ainsi le monopole des semences « améliorées » et
    interdit toute commercialisation de semences paysannes diversifiées et douées
    de plasticité.
    "

    L’agroécologie et l’industrie ne sont pas compatibles.

    Terrétique a choisi un nom et un logo qui font penser à Terre & Humanisme. Mais ce sont deux mondes séparé des années-lumières. Ils n’ont moins que rien en commun avec Pierre Rabhi.

    Ne vous faites pas leurer.

    Fleury Michon, Veolia, MacDonalds, Mousset, Groupe Agrica, EDF, Fondation EDF, Danone : http://terrethique.org/les-partenaires-de-terrethique/


  • sobriété sobriété 29 août 2013 09:23

    J’ai oublié de marquer l’origine de la citation de Nature & Progrès.
    Voici l’autre.
    « Il n’y a pas de souveraineté alimentaire sans respect des droits des paysans
    d’utiliser et d’échanger leurs semences, boutures, plants et greffes. Ces droits
    sont niés par les lois qui permettent à dix sociétés transnationales de contrôler
    les trois quarts du commerce mondial de semences. Celui qui contrôle les
    semences contrôle les peuples...
     » (Nature & Progrès)


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