Paroles de traders
Voici une vidéo exclusive tournée par Pascal Canfin. Il s’agit de témoignages anonymes de traders expérimentés. Entre blanchiment d’argent et autres dérives, dignes des plus grandes escroqueries.
6 réactions
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rastapopulo
24 septembre 2011 14:17
Comme l’étude sur la stabilité des banque de dépôt et les risques des autres qui a provoqué l’ébahissement des verts européistes ce mois-ci, c’est vraiment d’une candeur.
L’article du monde d’hier sur le pourquoi du rétablissement du GlassSteagall en Angleterre tombait pourtant dans le cliché à la fin mais est plus instructif que de redécouvrir des évidences (saupoudré d’écologie qui embrouille encore plus le débat).
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papone
25 septembre 2011 01:09
@Firepox
Pourquoi tu ne te réjouis pas plutôt de constater que le message circule ? Au lieu de parler de récupération. Et quant à l’écologie, n’oublie pas de penser par toi même en toutes circonstances. Tu n’es pas obligé de relayer le message S&P. Ils se pourrait bien que la ligne de ce mouvement soit à coté de la plaque sur ce sujet, ce qui ne remet pas en cause sa légitimité sur les questions financières.
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Giordano-Bruno
25 septembre 2011 13:11
Firepox, ne confondez les partis politiques estampillés "écologistes" et l’écologie. Les partis ’écologistes’ sont des impostures alors que l’écologie est une science.
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Maldoror
25 septembre 2011 17:46
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amest
26 septembre 2011 01:44
Voir également cette vidéo :
La loi Glass-Steagall pour la France / Eric Verhaeghe
http://www.dailymotion.com/video/xk1ci2_la-loi-glass-steagall-pour-la-france-eric-verhaeghe_newsEn ce qui concerne la France, on y apprend que c’est Beregovoy, ministre des Finances sous le Gouvernement Fabius qui, en 1984, a procédé à la déréglementation totale du système bancaire français.
Bien aidé en cela par deux énarques :
Jean-Yves Haberer, d’abord haut fonctionnaire (ENA) qui est à l’origine de cette déréglementation... qui est devenu ensuite président de la BNP puis président du Crédit Lyonnais au moment de la faillite de cette banque
Michel Pébereau : Enarque, et maintenant, président de BNP-Paribas.En France, c’est cette "aristocratie d’Etat" qui est à l’origine de ces privatisations et qui en a le plus profité.